Abidjan, le 18 septembre 2018. Le PROGEP-CI a organisé la 2ème réunion de son Comité Technique le 18 septembre 2018 à Abidjan afin d’échanger sur l’état d’avancement et les perspectives du projet. Placée sous la Présidence de Silué Gnénéyéri, Directeur de la Protection des Végétaux et du Contrôle de la Qualité (DPVCQ) au Ministère de l’Agriculture et du Développement Rural, cette rencontre s’est déroulée en présence de Bakayoko Alimata, point focal du Fonds pour l’Environnement Mondial (FEM). Elle a permis aux principaux acteurs de la gestion des pesticides obsolètes et des déchets associés en Côte d’Ivoire de dresser le bilan des activités réalisées et de mesurer la performance du projet.
Ainsi, le projet enregistre un taux de réalisation de 74% au 15 septembre 2018. Cette belle performance s’explique par la prise en main de deux activités majeures en 2018 à savoir le redémarrage de l’inventaire national des pesticides et le recrutement d’un consultant pour l’élaboration des textes en vue du renforcement du cadre réglementaire sur les pesticides. L’inventaire des pesticides constitue la première étape pour mieux apprécier l’étendue et les conséquences des pesticides frauduleux, interdits et périmés sur notre santé et notre environnement. Il sera suivi d’une phase de collecte en vue de leur stockage sécurisé sur des sites appropriés. A terme, le PROGEP-CI envisage la mise en place d’un système d’Information des Pesticides (SIP) pour garantir une meilleure gestion de l’approvisionnement des stocks utilisables, obsolètes et des déchets associés en vue d’assurer une gestion rationnelle des pesticides.
« J’encourage le PROGEP-CI à approfondir la réflexion et mobiliser les financements dans la perspective de l’élimination des pesticides obsolètes et déchets associés collectés et la désintoxication des sites contaminés » a conseillé le Point Focal du Fonds pour l’Environnement Mondial (FEM) au PROGEP-CI qu’elle a également félicité pour les résultats obtenus.
Ces performances ont également été saluées par le Président du Comité Technique qui s’est dit particulièrement satisfait de la tournée de sensibilisation effectuée dans l’Indénié-Djuablin, précisément à Abengourou et Amélékia et a exhorté le PROGEP-CI à poursuivre ces actions pour « une meilleure implication et l’adhésion des parties prenantes et surtout des revendeurs, gage de la réussite du projet ».
Ces acquis seront renforcés par des activités majeures planifiées telles que l’organisation des premières Journées Scientifiques sur les Pesticides du 29 au 31 octobre 2018 à Abidjan, avec la participation de chercheurs, de l’industrie phytosanitaire, des organisations professionnelles agricoles et des structures étatiques. Selon le Professeur Kouadio Georges, Coordonnateur du PROGEP-CI, « les Journées Scientifiques sur les Pesticides permettront de faire le point des actions menées et de mettre en place des stratégies pour le futur autour de la question des pesticides en Côte d’Ivoire et dans la sous-région ». De plus, dans l’optique de la promotion des alternatives aux pesticides de synthèse chimique, le PROGEP-CI envisage le recrutement de deux laboratoires de recherche pour le soutien aux analyses chimiques de pesticides et des matrices environnementales. Divers autres activités sont prévues notamment le renforcement des capacités de certains acteurs du projet, la mise en place du Comité National de Supervision et des comités de gestion des champs pilotes, l’aménagement des sites de stockage ainsi que la poursuite de l’inventaire des pesticides.
Ainsi, le projet enregistre un taux de réalisation de 74% au 15 septembre 2018. Cette belle performance s’explique par la prise en main de deux activités majeures en 2018 à savoir le redémarrage de l’inventaire national des pesticides et le recrutement d’un consultant pour l’élaboration des textes en vue du renforcement du cadre réglementaire sur les pesticides. L’inventaire des pesticides constitue la première étape pour mieux apprécier l’étendue et les conséquences des pesticides frauduleux, interdits et périmés sur notre santé et notre environnement. Il sera suivi d’une phase de collecte en vue de leur stockage sécurisé sur des sites appropriés. A terme, le PROGEP-CI envisage la mise en place d’un système d’Information des Pesticides (SIP) pour garantir une meilleure gestion de l’approvisionnement des stocks utilisables, obsolètes et des déchets associés en vue d’assurer une gestion rationnelle des pesticides.
« J’encourage le PROGEP-CI à approfondir la réflexion et mobiliser les financements dans la perspective de l’élimination des pesticides obsolètes et déchets associés collectés et la désintoxication des sites contaminés » a conseillé le Point Focal du Fonds pour l’Environnement Mondial (FEM) au PROGEP-CI qu’elle a également félicité pour les résultats obtenus.
Ces performances ont également été saluées par le Président du Comité Technique qui s’est dit particulièrement satisfait de la tournée de sensibilisation effectuée dans l’Indénié-Djuablin, précisément à Abengourou et Amélékia et a exhorté le PROGEP-CI à poursuivre ces actions pour « une meilleure implication et l’adhésion des parties prenantes et surtout des revendeurs, gage de la réussite du projet ».
Ces acquis seront renforcés par des activités majeures planifiées telles que l’organisation des premières Journées Scientifiques sur les Pesticides du 29 au 31 octobre 2018 à Abidjan, avec la participation de chercheurs, de l’industrie phytosanitaire, des organisations professionnelles agricoles et des structures étatiques. Selon le Professeur Kouadio Georges, Coordonnateur du PROGEP-CI, « les Journées Scientifiques sur les Pesticides permettront de faire le point des actions menées et de mettre en place des stratégies pour le futur autour de la question des pesticides en Côte d’Ivoire et dans la sous-région ». De plus, dans l’optique de la promotion des alternatives aux pesticides de synthèse chimique, le PROGEP-CI envisage le recrutement de deux laboratoires de recherche pour le soutien aux analyses chimiques de pesticides et des matrices environnementales. Divers autres activités sont prévues notamment le renforcement des capacités de certains acteurs du projet, la mise en place du Comité National de Supervision et des comités de gestion des champs pilotes, l’aménagement des sites de stockage ainsi que la poursuite de l’inventaire des pesticides.