" Quelles évolutions pour un transport durable des marchandises en Afrique ? " c’est sur ce thème que s’est ouvert la deuxième table ronde de l’Organisation des Mobilités Africaines le mardi 18 septembre 2018, à Abidjan-Plateau.
Les objectifs poursuivis par cette table ronde sont l’identification des facteurs d’évolution du transport des marchandises en Afrique ; de montrer les tendances du secteur en Afrique ; de montrer les innovations en cours dans ce secteur sur le continent ; de relever les ruptures nécessaires pour un avenir souhaité du secteur des transports des marchandises en Afrique à l’horizon 2030-2050.
Cette table Ronde a été marquée par deux panels animés par des acteurs du secteur du transport et ministère de tutelle.
Le premier qui a porté sur « Les politiques publiques en Afrique face aux enjeux de la durabilité du secteur des transports de marchandises à l’horizon 2030-2050 » a permis aux 4 orateurs qui sont le Secrétaire Exécutif de l’UATP, le Directeur Général des Transports Terrestres et de la Circulation, le Directeur Général de l’Office Ivoirien des Chargeurs et le Président du Syndicat National des chauffeurs de Transport de Marchandises et Voyageurs de Côte d’Ivoire (SYNCTMV), de s’exprimer sur la question.
Il est ressorti des propos de chaque intervenant qui par ailleurs bénéficiait de 10 minutes pour présenter son regard sur les enjeux actuels et futurs du transport des marchandises en Afrique. Que la " santé" du setceur du transport est l’essence du développement économique.
Pour le secrétaire exécutif de l’Union africaine des transports publics (Uatp), Cissé Yssoufou face à la faible représentativité et dans un contexte de promotion de l’environnement, le Programme pour le développement des infrastructures en Afrique (Pida) a été créé par les décideurs, « après des études ».
Lesdites études ont fait savoir la nécessité d’une intégration régionale réussie par la mise en œuvre de plusieurs projets de corridors, voies majeures de transport le long desquelles une propension importante d’importation et d’exportation est réalisée à l’échelle régionale et internationale.
Tout ceci, « avec des normes et standards à mettre en place » dans un cadre de partenariat et de bonne compréhension pour aller dans le « même sens », a précisé Cissé Yssoufou.
Intervenant sur la question, le directeur général du Haut conseil du patronat des entreprises de transport routier de Côte d’Ivoire (HCPETR-CI), Diaby Ibrahim a fait remarquer qu’aujourd’hui les différents regroupements régionaux en Afrique ont la « volonté de faire en sorte qu’à l’avenir, le transport routier des marchandises puisse être un transport qui ne soit plus confrontés aux aléas des frontières » ; c’est-à-dire, « sans tracasseries et entraves ».
Le second panel qui a gravité autour du thème suivant : « Les innovations face aux enjeux de
durabilité du secteur des transports de marchandises en Afrique à l’horizon 2030-
2050 », a permis aux participants de mieux s’imprégner de la situation à venir du secteur de la route.
CK
Les objectifs poursuivis par cette table ronde sont l’identification des facteurs d’évolution du transport des marchandises en Afrique ; de montrer les tendances du secteur en Afrique ; de montrer les innovations en cours dans ce secteur sur le continent ; de relever les ruptures nécessaires pour un avenir souhaité du secteur des transports des marchandises en Afrique à l’horizon 2030-2050.
Cette table Ronde a été marquée par deux panels animés par des acteurs du secteur du transport et ministère de tutelle.
Le premier qui a porté sur « Les politiques publiques en Afrique face aux enjeux de la durabilité du secteur des transports de marchandises à l’horizon 2030-2050 » a permis aux 4 orateurs qui sont le Secrétaire Exécutif de l’UATP, le Directeur Général des Transports Terrestres et de la Circulation, le Directeur Général de l’Office Ivoirien des Chargeurs et le Président du Syndicat National des chauffeurs de Transport de Marchandises et Voyageurs de Côte d’Ivoire (SYNCTMV), de s’exprimer sur la question.
Il est ressorti des propos de chaque intervenant qui par ailleurs bénéficiait de 10 minutes pour présenter son regard sur les enjeux actuels et futurs du transport des marchandises en Afrique. Que la " santé" du setceur du transport est l’essence du développement économique.
Pour le secrétaire exécutif de l’Union africaine des transports publics (Uatp), Cissé Yssoufou face à la faible représentativité et dans un contexte de promotion de l’environnement, le Programme pour le développement des infrastructures en Afrique (Pida) a été créé par les décideurs, « après des études ».
Lesdites études ont fait savoir la nécessité d’une intégration régionale réussie par la mise en œuvre de plusieurs projets de corridors, voies majeures de transport le long desquelles une propension importante d’importation et d’exportation est réalisée à l’échelle régionale et internationale.
Tout ceci, « avec des normes et standards à mettre en place » dans un cadre de partenariat et de bonne compréhension pour aller dans le « même sens », a précisé Cissé Yssoufou.
Intervenant sur la question, le directeur général du Haut conseil du patronat des entreprises de transport routier de Côte d’Ivoire (HCPETR-CI), Diaby Ibrahim a fait remarquer qu’aujourd’hui les différents regroupements régionaux en Afrique ont la « volonté de faire en sorte qu’à l’avenir, le transport routier des marchandises puisse être un transport qui ne soit plus confrontés aux aléas des frontières » ; c’est-à-dire, « sans tracasseries et entraves ».
Le second panel qui a gravité autour du thème suivant : « Les innovations face aux enjeux de
durabilité du secteur des transports de marchandises en Afrique à l’horizon 2030-
2050 », a permis aux participants de mieux s’imprégner de la situation à venir du secteur de la route.
CK