En collaboration avec ONU-Environnement, le ministère de l’Environnement et du Développement durable (MINEDD), a initié ce mardi un atelier de validation de la feuille de route et du document de plaidoyer pour la réduction du soufre dans les carburants ivoiriens.
En effet, la Côte d’Ivoire, à l’instar des pays africains, met tout en oeuvre pour la réduction du soufre dans les carburants afin d’atténuer son impact négatif sur la santé humaine et l’environnement et améliorer en conséquence la qualité de l’air en milieu urbain.
L’atelier vise à élaborer une stratégie nationale de réduction du soufre dans le gasoil en Côte d’Ivoire.
Spécifiquement, il s’agira de valider le plan d’action et la feuille de route pour la réduction du soufre dans le carburant ivoirien et le document de plaidoyer pour la réduction du soufre dans le carburant ivoirien.
Jane Akume, représentante d’ONU Environnement a expliqué que les pertes économiques et les impacts sur la population sont estimés à deux milliards de dollars et plus de 16000 cas de décès, insistant sur le fait qu’il "faut que la question soit adressée, c’est pourquoi elle se réjouit de la présence de différents experts à cet atelier.
« Si nous voulons préserver la santé des populations et leur garantir un environnement sain, la qualité des produits pétroliers est une problématique que nous devons adresser. Le problème du soufre a atteint sa côte d’alerte avec l’importation du diesel frelaté dans notre région d’Afrique de l’Ouest », a estimé le représentant de la CEDEAO, Bernard Koffi qui a expliqué qu’une étude conduite par la CEDEAO devra à terme établir des projets de spécification et de normes d’émission des polluants de véhicules qui seront soumis aux Etats membres pour validation et applicables dans tous les Etats.
Les valeurs limites pour la protection de la santé humaine sont de 350 microgrammes mètres cubes en moyenne horaire à ne pas dépasser plus de 24 fois par année civile et 125 microgrammes mètres cubes en moyenne journalière à ne pas dépasser plus de trois fois par année civile a rappelé le directeur de cabinet du MINEDD, Kouablan François.
Il s’est également réjoui de ce que la Côte d’Ivoire bénéficie de l’assistance financière et technique de ONU-Environnement pour la mise en œuvre des programmes et projets visant à réduire la teneur en soufre dans les carburants.
Le présent atelier qui s’est tenu avec la présence effective des autres experts techniques, membres du Comité de Restructuration de la Dette SIR, afin d’adopter les options techniques et financières qui permettront de mettre en œuvre les spécifications nationales d’un gasoil à faible teneur en soufre.
Atapointe
En effet, la Côte d’Ivoire, à l’instar des pays africains, met tout en oeuvre pour la réduction du soufre dans les carburants afin d’atténuer son impact négatif sur la santé humaine et l’environnement et améliorer en conséquence la qualité de l’air en milieu urbain.
L’atelier vise à élaborer une stratégie nationale de réduction du soufre dans le gasoil en Côte d’Ivoire.
Spécifiquement, il s’agira de valider le plan d’action et la feuille de route pour la réduction du soufre dans le carburant ivoirien et le document de plaidoyer pour la réduction du soufre dans le carburant ivoirien.
Jane Akume, représentante d’ONU Environnement a expliqué que les pertes économiques et les impacts sur la population sont estimés à deux milliards de dollars et plus de 16000 cas de décès, insistant sur le fait qu’il "faut que la question soit adressée, c’est pourquoi elle se réjouit de la présence de différents experts à cet atelier.
« Si nous voulons préserver la santé des populations et leur garantir un environnement sain, la qualité des produits pétroliers est une problématique que nous devons adresser. Le problème du soufre a atteint sa côte d’alerte avec l’importation du diesel frelaté dans notre région d’Afrique de l’Ouest », a estimé le représentant de la CEDEAO, Bernard Koffi qui a expliqué qu’une étude conduite par la CEDEAO devra à terme établir des projets de spécification et de normes d’émission des polluants de véhicules qui seront soumis aux Etats membres pour validation et applicables dans tous les Etats.
Les valeurs limites pour la protection de la santé humaine sont de 350 microgrammes mètres cubes en moyenne horaire à ne pas dépasser plus de 24 fois par année civile et 125 microgrammes mètres cubes en moyenne journalière à ne pas dépasser plus de trois fois par année civile a rappelé le directeur de cabinet du MINEDD, Kouablan François.
Il s’est également réjoui de ce que la Côte d’Ivoire bénéficie de l’assistance financière et technique de ONU-Environnement pour la mise en œuvre des programmes et projets visant à réduire la teneur en soufre dans les carburants.
Le présent atelier qui s’est tenu avec la présence effective des autres experts techniques, membres du Comité de Restructuration de la Dette SIR, afin d’adopter les options techniques et financières qui permettront de mettre en œuvre les spécifications nationales d’un gasoil à faible teneur en soufre.
Atapointe