La Capitale économique de Côte d’Ivoire, abrite depuis le 1er octobre, un atelier d’expert dans le domaine de la sécurité nucléaire.
Dénommé " atélier régional sur l’élaboration d’une feuille de route pour la mise en place d’une architecture de détection en matière de sécurité nucléaire concernant les matières non soumises à un contrôle réglementaire’’ se tient à l’hôtel geston.
Regroupant 4 pays dont la Côte d’Ivoire, le Gabon ,le Tchad et le Sénégal, l’atelier qui se déroulera sur quatre jours va permettre à chacun de ces pays de réaliser une feuille de route visant à établir une architecture de détection des rayonnements des matières nucléaire non contrôlées.
Selon les initiateurs, la sécurité nucléaire designe l’ensemble des mesures destinées à empêcher un accès non autorisé ou des dommages aux substances ou matières radioactives et sources de rayonnements ionisants ainsi que leur perte, vol et cession non autorisé.
A ce jour, la Côte d’Ivoire ne dispose ni de réacteur nucléaire de recherche ni de réacteur nucléaire de puissance pour la production d’énergie ou d’électricité selon le Ministère de l’intérieur et de la sécurité. C’est pour toutes ces raisons que l’atélier Co-organisé par l’Autorité de Radioprotection, de Sûreté et Sécurité Nucléaire (ARSN) et l’Agence Internationale de l’Energie Atomique ( AIEA) arrive au bon moment.
Pour Marie-chantal Goffri Kouassi, Directrice Générale de l’ARSN, cet atélier va permettre de sécuriser l’utilisation de l’énergie nucléaire. " il y’a plusieurs sources d’énergie nucléaire utiles dans les domaines de la santé , de l’agriculture, la recherche. Mais lorsque les normes de Radioprotection ne sont pas respectées cela peut causer d’énorme dégâts au sein de la population. C’est pourquoi il faut s’assurer du bon dosage de l’énergie nucléaire" a-t-elle indiquée.
Le danger est bien réel. « Chaque semaine un événement qui met en jeu les matières radioactives non maîtrisées est signalé dans l’un des 170 États membres assisté par l’AIEA » a révélé Thierry Pelletier, Expert AIEA.
La sécurité nucléaire est l’apanage de tout État qui se veut responsable.
C’est pourquoi " Avec le soutien de L’AIEA, notre pays, dans sa course vers le progrès et le développement socio-économique de ses populations, a capitalisé au cours des deux dernières décennies des résultats tangibles, dans les nombreux domaines d’application pacifique des matières nucléaires ou autres matières radioactives" explique Luc HounDje, Directeur de Cabinet Adjoint représentant le Ministre de l’interieur et de la Securité.
Il a souhaité de fructueux travaux aux experts « afin de mettre à disposition un régime de sécurité nucléaire éfficace afin de faire échec à toute tentative malveillante émettant des matières nucléaires ou radioactives ».
La sécurité nucléaire n’implique pas que les armes de destruction massive ou les fusées qui vont dans l’espace. Les rayons laser utilisés pour les radiographies à l’hôpital où les rayons infra des téléphones sont aussi concernés par le domaine nucléaire.
CK
Dénommé " atélier régional sur l’élaboration d’une feuille de route pour la mise en place d’une architecture de détection en matière de sécurité nucléaire concernant les matières non soumises à un contrôle réglementaire’’ se tient à l’hôtel geston.
Regroupant 4 pays dont la Côte d’Ivoire, le Gabon ,le Tchad et le Sénégal, l’atelier qui se déroulera sur quatre jours va permettre à chacun de ces pays de réaliser une feuille de route visant à établir une architecture de détection des rayonnements des matières nucléaire non contrôlées.
Selon les initiateurs, la sécurité nucléaire designe l’ensemble des mesures destinées à empêcher un accès non autorisé ou des dommages aux substances ou matières radioactives et sources de rayonnements ionisants ainsi que leur perte, vol et cession non autorisé.
A ce jour, la Côte d’Ivoire ne dispose ni de réacteur nucléaire de recherche ni de réacteur nucléaire de puissance pour la production d’énergie ou d’électricité selon le Ministère de l’intérieur et de la sécurité. C’est pour toutes ces raisons que l’atélier Co-organisé par l’Autorité de Radioprotection, de Sûreté et Sécurité Nucléaire (ARSN) et l’Agence Internationale de l’Energie Atomique ( AIEA) arrive au bon moment.
Pour Marie-chantal Goffri Kouassi, Directrice Générale de l’ARSN, cet atélier va permettre de sécuriser l’utilisation de l’énergie nucléaire. " il y’a plusieurs sources d’énergie nucléaire utiles dans les domaines de la santé , de l’agriculture, la recherche. Mais lorsque les normes de Radioprotection ne sont pas respectées cela peut causer d’énorme dégâts au sein de la population. C’est pourquoi il faut s’assurer du bon dosage de l’énergie nucléaire" a-t-elle indiquée.
Le danger est bien réel. « Chaque semaine un événement qui met en jeu les matières radioactives non maîtrisées est signalé dans l’un des 170 États membres assisté par l’AIEA » a révélé Thierry Pelletier, Expert AIEA.
La sécurité nucléaire est l’apanage de tout État qui se veut responsable.
C’est pourquoi " Avec le soutien de L’AIEA, notre pays, dans sa course vers le progrès et le développement socio-économique de ses populations, a capitalisé au cours des deux dernières décennies des résultats tangibles, dans les nombreux domaines d’application pacifique des matières nucléaires ou autres matières radioactives" explique Luc HounDje, Directeur de Cabinet Adjoint représentant le Ministre de l’interieur et de la Securité.
Il a souhaité de fructueux travaux aux experts « afin de mettre à disposition un régime de sécurité nucléaire éfficace afin de faire échec à toute tentative malveillante émettant des matières nucléaires ou radioactives ».
La sécurité nucléaire n’implique pas que les armes de destruction massive ou les fusées qui vont dans l’espace. Les rayons laser utilisés pour les radiographies à l’hôpital où les rayons infra des téléphones sont aussi concernés par le domaine nucléaire.
CK