Abidjan– Le président de la Haute autorité pour la bonne gouvernance (HABG), N’Golo Coulibaly, a ouvert, mercredi, un atelier consacré à la finalisation de l’autoévaluation de la Côte d’Ivoire dans la cadre de son examen de l’application des chapitres II et V de la Convention des Nations Unies contre la corruption.
Les résultats de l’examen, par des experts internationaux, permettront de mesurer le niveau d’engagement de la Côte d’Ivoire pour améliorer son rang parmi les pays les moins corrompus, tout en servant d’indicateur de qualité pour le Millénium challenge corporation (MCC).
Les chapitres III (incrimination, détection, répression) et IV (coopération internationale) ont été examinés en 2015 par la République démocratique du Congo et l’Azerbaïdjan. Les chapitres II (mesures préventives) et V (recouvrement des avoirs illicites) doivent l’être à partir de juin prochain par des experts qui restent à désigner par l’ONUDC à Vienne.
"S’il est certain que la Côte d’Ivoire a nommé un point focal et a mis en œuvre un comité de coordination des actions liées au mécanisme d’examen de la Convention, il n’en demeure pas moins que l’élaboration du rapport d’autoévaluation doit être le fruit d’une consultation nationale avec toutes les parties concernées par les chapitres sous examen", a indiqué le président N’Golo Coulibaly.
Le projet de finalisation du rapport sera transmis au ministre de la Justice avant sa validation par le Comité de coordination présidé par le Premier ministre, Amadou Gon Coulibaly, et sa transmission par la suite à l’Office des Nations Unies contre la corruption.
La quarantaine de participants à l’atelier qui se tient au siège de la HABG, devraient donc faire une proposition pertinente de rapport d’autoévaluation, sans se laisser gagner par "la tentation de verser dans l’autoflagellation", a suggéré le représentant du ministre de la Justice et des Droits de l’homme, le magistrat Delbé Zirignon Constant.
La Côte d’Ivoire a signé EN 2003 la Convention des Nations Unies contre la corruption entrée en vigueur en 2005 avant de la ratifier en 2011. Cette convention promeut et renforce les mesures visant à prévenir et à combattre la corruption de manière efficace. Son objectif est d’examiner et d’évaluer le dispositif juridique et institutionnel de prévention et de lutte contre la corruption par les Etats parties afin de s’assurer de l’application effective des prescriptions de la convention.
aaa/kp
Les résultats de l’examen, par des experts internationaux, permettront de mesurer le niveau d’engagement de la Côte d’Ivoire pour améliorer son rang parmi les pays les moins corrompus, tout en servant d’indicateur de qualité pour le Millénium challenge corporation (MCC).
Les chapitres III (incrimination, détection, répression) et IV (coopération internationale) ont été examinés en 2015 par la République démocratique du Congo et l’Azerbaïdjan. Les chapitres II (mesures préventives) et V (recouvrement des avoirs illicites) doivent l’être à partir de juin prochain par des experts qui restent à désigner par l’ONUDC à Vienne.
"S’il est certain que la Côte d’Ivoire a nommé un point focal et a mis en œuvre un comité de coordination des actions liées au mécanisme d’examen de la Convention, il n’en demeure pas moins que l’élaboration du rapport d’autoévaluation doit être le fruit d’une consultation nationale avec toutes les parties concernées par les chapitres sous examen", a indiqué le président N’Golo Coulibaly.
Le projet de finalisation du rapport sera transmis au ministre de la Justice avant sa validation par le Comité de coordination présidé par le Premier ministre, Amadou Gon Coulibaly, et sa transmission par la suite à l’Office des Nations Unies contre la corruption.
La quarantaine de participants à l’atelier qui se tient au siège de la HABG, devraient donc faire une proposition pertinente de rapport d’autoévaluation, sans se laisser gagner par "la tentation de verser dans l’autoflagellation", a suggéré le représentant du ministre de la Justice et des Droits de l’homme, le magistrat Delbé Zirignon Constant.
La Côte d’Ivoire a signé EN 2003 la Convention des Nations Unies contre la corruption entrée en vigueur en 2005 avant de la ratifier en 2011. Cette convention promeut et renforce les mesures visant à prévenir et à combattre la corruption de manière efficace. Son objectif est d’examiner et d’évaluer le dispositif juridique et institutionnel de prévention et de lutte contre la corruption par les Etats parties afin de s’assurer de l’application effective des prescriptions de la convention.
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