Abidjan- L’ONG «Tolérance in the world » désigne le Président ivoirien, Alassane Ouattara, "Prix international de la tolérance", pour ses actions en faveur du pardon et de la tolérance, annonce le Secrétaire général de cette organisation, Florent Kouamé.
M. Kouamé qui s’exprimait mardi devant la presse, à Abidjan-Cocody, a expliqué que ce prix, décerné chaque année depuis la création de l’ONG en 2011, est attribué cette année au chef de l'Etat ivoirien, "pour ses actions de tolérance, de paix et de pardon, notamment l’ordonnance d’amnistie pour libération de 800 détenus, et la récente libération de 4500 détenus de délits mineurs ou de délits de droit commun".
« Ce sont ces actes posés qui ont concouru au choix d’Alassane Ouattara », a expliqué Florent Kouamé, ajoutant que le prix sera décerné le 16 novembre, qui coïncide avec la journée internationale de la tolérance initiée par l’Unesco.
« Nous militons pour la tolérance, la paix, le respect de la dignité humaine et surtout l’acceptation de la différence. Nous estimons qu’il ne peut pas avoir de développement sans paix et sans tolérance », a-t-il fait remarquer. Pour lui, la tolérance est au cœur de toutes les actions. « Partout où nous sommes, nous écorchons, nous nous attaquons. Nous menons des actes qui ne vont pas dans le sens de la tolérance. C’est pourquoi il faut être tolérant envers son prochain », a indiqué.
Cependant le Secrétaire général de l’ONG Tolérance in the world se félicite que la tolérance est une vertu qui est en train de s’incruster davantage dans le comportement des Ivoiriens. « La Côte d’Ivoire est par essence un peuple tolérant. Mais la dose de la tolérance doit être davantage recherchée. On est toujours exposé à des actes de tolérance par rapport aux actes que nous posons dans la société », a-t-il relevé.
Florent Kouamé a insisté sur l’enseignement de la tolérance dès le bas âge. Pour soutenir ce travail, il annonce des actions d’envergure tant à Abidjan qu’à l’intérieur pour sensibiliser les familles et les populations sur cette notion.
kkf/tm
M. Kouamé qui s’exprimait mardi devant la presse, à Abidjan-Cocody, a expliqué que ce prix, décerné chaque année depuis la création de l’ONG en 2011, est attribué cette année au chef de l'Etat ivoirien, "pour ses actions de tolérance, de paix et de pardon, notamment l’ordonnance d’amnistie pour libération de 800 détenus, et la récente libération de 4500 détenus de délits mineurs ou de délits de droit commun".
« Ce sont ces actes posés qui ont concouru au choix d’Alassane Ouattara », a expliqué Florent Kouamé, ajoutant que le prix sera décerné le 16 novembre, qui coïncide avec la journée internationale de la tolérance initiée par l’Unesco.
« Nous militons pour la tolérance, la paix, le respect de la dignité humaine et surtout l’acceptation de la différence. Nous estimons qu’il ne peut pas avoir de développement sans paix et sans tolérance », a-t-il fait remarquer. Pour lui, la tolérance est au cœur de toutes les actions. « Partout où nous sommes, nous écorchons, nous nous attaquons. Nous menons des actes qui ne vont pas dans le sens de la tolérance. C’est pourquoi il faut être tolérant envers son prochain », a indiqué.
Cependant le Secrétaire général de l’ONG Tolérance in the world se félicite que la tolérance est une vertu qui est en train de s’incruster davantage dans le comportement des Ivoiriens. « La Côte d’Ivoire est par essence un peuple tolérant. Mais la dose de la tolérance doit être davantage recherchée. On est toujours exposé à des actes de tolérance par rapport aux actes que nous posons dans la société », a-t-il relevé.
Florent Kouamé a insisté sur l’enseignement de la tolérance dès le bas âge. Pour soutenir ce travail, il annonce des actions d’envergure tant à Abidjan qu’à l’intérieur pour sensibiliser les familles et les populations sur cette notion.
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