La compréhension de l’environnement national de la Recherche scientifique en Côte d’Ivoire et la maitrise des données régulières sur les dépenses de cette Recherche et de l’innovation sont indispensables à une croissance économique durable dont les priorités sont contenues dans le PND (Plan national de développement). Ce pourquoi, dans le cadre de la promotion d’une Recherche Scientifique qui concourt au développement socioéconomique de la Côte d’Ivoire, le NEPAD (Nouveau partenariat pour le développement de l’Afrique) et le PASRES (Programme d’appui suisse à la recherche scientifique) ont décidé d’unir leurs efforts pour le renforcement de capacités des chercheurs ivoiriens.
Cette volonté s’est matérialisée à travers l’initiative d’un atelier de renforcement des capacités sur le système de mesure de la recherche scientifique en Côte d’Ivoire et la maîtrise de l’interaction entre les projets financés par le PASRES avec les secteurs socio-économiques. Cet atelier qui se tient du mercredi 03 au vendredi 05 octobre, au Centre Suisse d’Adiopodoumé (Yopougon), est organisé par le NEPAD dont les experts assurent l’animation des différents modules à l’endroit d’une vingtaine de chercheurs et doctorants des Universités publiques d’Abidjan.
A l’ouverture de ces travaux, le Secrétaire Exécutif du PASRES, Dr Sangaré Yaya, a souligné que cet atelier a pour but d’aider les chercheurs ivoiriens à élaborer des projets de recherche, en tenant compte des objectifs de développement définis dans le PND de la Côte d’Ivoire.
Ceci étant, la session qui a suivi a permis aux panélistes d’explorer et à partager des expériences de gestion de programmes et de projets de Recherche et Développement (R&D) en Côte d’Ivoire. Le contenu de quelques projets financés par le PASRES a été analysé pour en saisir la pertinence. Par ailleurs, une autre session destinée à explorer les performances actuelles de l’économie ivoirienne (PIB), à faire ressortir les priorités définies dans le PND, ainsi que le rôle de la recherche et l’innovation dans la croissance économique.
Cependant, faut-il noter de ces travaux que l’environnement des politiques de la Science, technologie et innovation n’est toujours pas propice pour une bonne collaboration entre institutions nationales déjà fragmentées et œuvrant déjà de façon solitaire. Cela rend très difficile le partenariat équitable et l’échange du savoir scientifique sur le plan national.
C’est donc pour l’encourager pour sa détermination dans le financement des projets de recherche scientifique, que les experts du NEPAD disent avoir choisi le PASRES parmi ‘’les quinze institutions nationales africaines qui s’adonnent à la recherche ou qui la financent’’.
« Nous sommes plus intéressés par les institutions qui font de la recherche, celles qui financent la recherche ou les bénéficiaires qui rendent comptent des ressources financières investies dans leurs projets de recherche. Le PASRES est engagé dans le financement des doctorants, chercheurs ou enseignants-chercheurs. Notre intérêt, c’est élaborer des programmes de renforcement de capacités pour former ces jeunes doctorants ou chercheurs pour que leurs projets aient un impact sur le développement national de la Côte d’Ivoire », a déclaré Dr Tichaona Mangwende, Directeur du pôle de recherche et de statistiques, Industrialisation, Science, Technologie et de l’Innovation du NEPAD.
JOB
Cette volonté s’est matérialisée à travers l’initiative d’un atelier de renforcement des capacités sur le système de mesure de la recherche scientifique en Côte d’Ivoire et la maîtrise de l’interaction entre les projets financés par le PASRES avec les secteurs socio-économiques. Cet atelier qui se tient du mercredi 03 au vendredi 05 octobre, au Centre Suisse d’Adiopodoumé (Yopougon), est organisé par le NEPAD dont les experts assurent l’animation des différents modules à l’endroit d’une vingtaine de chercheurs et doctorants des Universités publiques d’Abidjan.
A l’ouverture de ces travaux, le Secrétaire Exécutif du PASRES, Dr Sangaré Yaya, a souligné que cet atelier a pour but d’aider les chercheurs ivoiriens à élaborer des projets de recherche, en tenant compte des objectifs de développement définis dans le PND de la Côte d’Ivoire.
Ceci étant, la session qui a suivi a permis aux panélistes d’explorer et à partager des expériences de gestion de programmes et de projets de Recherche et Développement (R&D) en Côte d’Ivoire. Le contenu de quelques projets financés par le PASRES a été analysé pour en saisir la pertinence. Par ailleurs, une autre session destinée à explorer les performances actuelles de l’économie ivoirienne (PIB), à faire ressortir les priorités définies dans le PND, ainsi que le rôle de la recherche et l’innovation dans la croissance économique.
Cependant, faut-il noter de ces travaux que l’environnement des politiques de la Science, technologie et innovation n’est toujours pas propice pour une bonne collaboration entre institutions nationales déjà fragmentées et œuvrant déjà de façon solitaire. Cela rend très difficile le partenariat équitable et l’échange du savoir scientifique sur le plan national.
C’est donc pour l’encourager pour sa détermination dans le financement des projets de recherche scientifique, que les experts du NEPAD disent avoir choisi le PASRES parmi ‘’les quinze institutions nationales africaines qui s’adonnent à la recherche ou qui la financent’’.
« Nous sommes plus intéressés par les institutions qui font de la recherche, celles qui financent la recherche ou les bénéficiaires qui rendent comptent des ressources financières investies dans leurs projets de recherche. Le PASRES est engagé dans le financement des doctorants, chercheurs ou enseignants-chercheurs. Notre intérêt, c’est élaborer des programmes de renforcement de capacités pour former ces jeunes doctorants ou chercheurs pour que leurs projets aient un impact sur le développement national de la Côte d’Ivoire », a déclaré Dr Tichaona Mangwende, Directeur du pôle de recherche et de statistiques, Industrialisation, Science, Technologie et de l’Innovation du NEPAD.
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