A l’occasion de la 33ème Journée du CILSS, le Comité national de Côte d’Ivoire du CILSS (Comité permanent inter-états de lutte contre la sécheresse dans le sahel), à l’instar de tous les comités nationaux des pays membres, a organisé ce jeudi 04 octobre, à la salle de Conférence du Ministère de l’Intégration africaine et des ivoiriens de l’extérieur (MIAIE), une journée débat autour du thème suivant : « Utilisation et marché des produits forestiers non ligneux en Côte d’Ivoire ».
C’est le sous-thème de la thématique générale qui accompagne la célébration de cette 33ème Journée du CILSS qui est la suivante : « l’importance des produits forestiers non ligneux dans le renforcement de la sécurité alimentaire et nutritionnelle et des moyens d’existence des ménages vulnérables au sahel et en Afrique de l’ouest ».
L’ouverture de cette journée débat a été présidée par le Directeur de cabinet adjoint, M. Stephane Aka Angui, représentant du ministre de l’Intégration Africaine et des Ivoiriens de l’Extérieur, avec la participation des Ministères de l’Economie et des Finances, et de l’Agriculture et du Développement Rural.
Selon le Directeur de cabinet adjoint, les Produits forestiers non ligneux (PFNL) méritent une attention et d’être intégrés désormais dans les politiques et stratégies en matière de sécurité alimentaire et nutritionnelle d’une part, et d’autre en matière d’activités génératrices de revenus. Ce pourquoi, cette journée débat devra renforcer ou plutôt poser les bases de la valorisation des produits forestiers non ligneux pour leur prise en compte dans la chaîne de valeurs des produits à forte valeur économique, aussi bien pour les Etats membres du CILSS que pour leurs populations.
« Nous espérons que les conclusions de ces travaux, nous permettront de renverser la tendance et redorer le blason tant méconnu de la valeur des produits forestiers non ligneux dans le courant de la vie économique de nos différents pays et pour nos populations », a déclaré le Directeur de cabinet adjoint, M. Stephane Aka Angui, avant de réitérer l’engagement de la Côte d’Ivoire à accompagner le CILSS et lui souhaiter longue vie pour le bonheur des peuples du sahel et de l’Afrique de l’ouest.
A toute fin utile, il faut retenir que cette journée débat a eu pour but essentiel de comprendre l’importance alimentaire, nutritionnelle et économique des Produits forestiers non ligneux (PFNL) en Côte d’Ivoire. Ce pays regorge de plus d’une centaine de PFNL allant des produits à vocation commerciale (à haute valeur ajoutée) notamment le miel, le beurre de karité, la cola, l’akpi aux produits de consommation courante comme les chenilles, les champignons, les feuilles et les produits destinées à l’artisanat local comme le raphia et le rotin.
En dehors de la cola, dont la Côte d’ Ivoire est premier producteur et premier exportateur mondial avec une production annuelle de 260 000 tonnes en 2016 dont 200 000 tonnes exportées. Cette filière occupe plus de 2000 producteurs et génère plus de 78 milliards F CFA, avec un coût moyen de 300 à 500 F CFA/Kg ;
Le secteur des Produits forestiers non ligneux est mal organisé où les acteurs paraissent mal connus, l’apport de ces produits semble être ignoré ou méconnu dans la chaîne de valeurs des produits économiques car les statistiques sur les volumes transigés et consommés sont irrégulières et quasi inexistantes. Du coup, tout exercice de valorisation, tel que la journée débat de cette 33ème célébration du CILSS, s’avère extrêmement laborieux et non sans difficultés.
JOB
C’est le sous-thème de la thématique générale qui accompagne la célébration de cette 33ème Journée du CILSS qui est la suivante : « l’importance des produits forestiers non ligneux dans le renforcement de la sécurité alimentaire et nutritionnelle et des moyens d’existence des ménages vulnérables au sahel et en Afrique de l’ouest ».
L’ouverture de cette journée débat a été présidée par le Directeur de cabinet adjoint, M. Stephane Aka Angui, représentant du ministre de l’Intégration Africaine et des Ivoiriens de l’Extérieur, avec la participation des Ministères de l’Economie et des Finances, et de l’Agriculture et du Développement Rural.
Selon le Directeur de cabinet adjoint, les Produits forestiers non ligneux (PFNL) méritent une attention et d’être intégrés désormais dans les politiques et stratégies en matière de sécurité alimentaire et nutritionnelle d’une part, et d’autre en matière d’activités génératrices de revenus. Ce pourquoi, cette journée débat devra renforcer ou plutôt poser les bases de la valorisation des produits forestiers non ligneux pour leur prise en compte dans la chaîne de valeurs des produits à forte valeur économique, aussi bien pour les Etats membres du CILSS que pour leurs populations.
« Nous espérons que les conclusions de ces travaux, nous permettront de renverser la tendance et redorer le blason tant méconnu de la valeur des produits forestiers non ligneux dans le courant de la vie économique de nos différents pays et pour nos populations », a déclaré le Directeur de cabinet adjoint, M. Stephane Aka Angui, avant de réitérer l’engagement de la Côte d’Ivoire à accompagner le CILSS et lui souhaiter longue vie pour le bonheur des peuples du sahel et de l’Afrique de l’ouest.
A toute fin utile, il faut retenir que cette journée débat a eu pour but essentiel de comprendre l’importance alimentaire, nutritionnelle et économique des Produits forestiers non ligneux (PFNL) en Côte d’Ivoire. Ce pays regorge de plus d’une centaine de PFNL allant des produits à vocation commerciale (à haute valeur ajoutée) notamment le miel, le beurre de karité, la cola, l’akpi aux produits de consommation courante comme les chenilles, les champignons, les feuilles et les produits destinées à l’artisanat local comme le raphia et le rotin.
En dehors de la cola, dont la Côte d’ Ivoire est premier producteur et premier exportateur mondial avec une production annuelle de 260 000 tonnes en 2016 dont 200 000 tonnes exportées. Cette filière occupe plus de 2000 producteurs et génère plus de 78 milliards F CFA, avec un coût moyen de 300 à 500 F CFA/Kg ;
Le secteur des Produits forestiers non ligneux est mal organisé où les acteurs paraissent mal connus, l’apport de ces produits semble être ignoré ou méconnu dans la chaîne de valeurs des produits économiques car les statistiques sur les volumes transigés et consommés sont irrégulières et quasi inexistantes. Du coup, tout exercice de valorisation, tel que la journée débat de cette 33ème célébration du CILSS, s’avère extrêmement laborieux et non sans difficultés.
JOB