Plusieurs acteurs de l’environnement renforcent leur capacité dans l’optique d’accroître leurs connaissances sur l’évaluation des risques de catastrophe, a constaté lundi APA sur place dans la capitale économique ivoirienne.
Selon le Directeur-Pays adjoint du Programme des Nations unies pour le développement (PNUD), Luc Gnonlonfoun, «cet atelier est aussi important qu’il intervient cinq mois après les inondations qui ont causé dans le pays d’importants dégâts matériels et des pertes en vie humaines ».
Ces événements tragiques, a-t-il souligné, « ont remis à l’avant-garde des priorités, les défis en matière de préventions de préparation, et de réponses aux aléas hydro climatiques en Côte d’Ivoire».
Pour lui, « il est primordial de voir, de comprendre les conséquences directes et indirectes de telles catastrophes puisqu’elles affectent fortement l’environnement, les infrastructures, les activités économiques et les opportunités d’emplois sans oublier le cortège de victimes qu’elles induisent ».
Par ailleurs, le représentant du Système des Nations unies à ces travaux, a salué les efforts déployés par le continent africain, qui « est devenu le chef de file dans le domaine de la réduction des risques de catastrophe » .
« Le gouvernement attend beaucoup des conclusions de cet atelier », a indiqué le ministre ivoirien de l’environnement et du développement durable, Joseph Séka-Séka qui reste convaincu que «pour espérer construire une meilleure résilience au niveau de la communauté et de leur environnement face aux catastrophes, il faut investir dans la réduction des risques des catastrophes »,
Poursuivant, il a fait savoir que cela « ne peut se faire que si les acteurs nationaux disposent d’une bonne connaissance du profil des risques en présence ».
Le Bureau des Nations Unies pour la réduction des risques de catastrophe (UNISDR) a engagé la CIMA Research Foundation (Centro Internazionale in Monitoraggio Ambientale) pour générer des profils de risque sur les inondations et la sécheresse dans 16 pays d’Afrique subsaharienne.
Les pays qui participeront à l’évaluation des risques sont: Angola, Botswana, Cameroun, Côte d’Ivoire, Gabon, Ghana, Gambie, Guinée Bissau, Guinée Equatoriale, Kenya, Namibie, Rwanda, Sao Tomé, Swaziland, Tanzanie et Zambie.
Cet atelier a lieu dans chacun des 16 pays pour partager et discuter des résultats des Profils de risque réalisés par CIMA, en vue de renforcer la résilience face aux catastrophes naturelles dans les régions, pays et communautés d’Afrique subsaharienne.
Le principal objectif de l’atelier est d’accroître la connaissance des risques, la participation et l’engagement des parties prenantes grâce à une meilleure sensibilisation à l’évaluation des risques de catastrophe et à la modélisation des risques. Ces assises compléteront les activités en cours consacrées à l’élaboration des profils de risque probabilistes pour les aléas liés aux inondations et à la sécheresse.
SY/ls/APA
Selon le Directeur-Pays adjoint du Programme des Nations unies pour le développement (PNUD), Luc Gnonlonfoun, «cet atelier est aussi important qu’il intervient cinq mois après les inondations qui ont causé dans le pays d’importants dégâts matériels et des pertes en vie humaines ».
Ces événements tragiques, a-t-il souligné, « ont remis à l’avant-garde des priorités, les défis en matière de préventions de préparation, et de réponses aux aléas hydro climatiques en Côte d’Ivoire».
Pour lui, « il est primordial de voir, de comprendre les conséquences directes et indirectes de telles catastrophes puisqu’elles affectent fortement l’environnement, les infrastructures, les activités économiques et les opportunités d’emplois sans oublier le cortège de victimes qu’elles induisent ».
Par ailleurs, le représentant du Système des Nations unies à ces travaux, a salué les efforts déployés par le continent africain, qui « est devenu le chef de file dans le domaine de la réduction des risques de catastrophe » .
« Le gouvernement attend beaucoup des conclusions de cet atelier », a indiqué le ministre ivoirien de l’environnement et du développement durable, Joseph Séka-Séka qui reste convaincu que «pour espérer construire une meilleure résilience au niveau de la communauté et de leur environnement face aux catastrophes, il faut investir dans la réduction des risques des catastrophes »,
Poursuivant, il a fait savoir que cela « ne peut se faire que si les acteurs nationaux disposent d’une bonne connaissance du profil des risques en présence ».
Le Bureau des Nations Unies pour la réduction des risques de catastrophe (UNISDR) a engagé la CIMA Research Foundation (Centro Internazionale in Monitoraggio Ambientale) pour générer des profils de risque sur les inondations et la sécheresse dans 16 pays d’Afrique subsaharienne.
Les pays qui participeront à l’évaluation des risques sont: Angola, Botswana, Cameroun, Côte d’Ivoire, Gabon, Ghana, Gambie, Guinée Bissau, Guinée Equatoriale, Kenya, Namibie, Rwanda, Sao Tomé, Swaziland, Tanzanie et Zambie.
Cet atelier a lieu dans chacun des 16 pays pour partager et discuter des résultats des Profils de risque réalisés par CIMA, en vue de renforcer la résilience face aux catastrophes naturelles dans les régions, pays et communautés d’Afrique subsaharienne.
Le principal objectif de l’atelier est d’accroître la connaissance des risques, la participation et l’engagement des parties prenantes grâce à une meilleure sensibilisation à l’évaluation des risques de catastrophe et à la modélisation des risques. Ces assises compléteront les activités en cours consacrées à l’élaboration des profils de risque probabilistes pour les aléas liés aux inondations et à la sécheresse.
SY/ls/APA