Le centre d’excellence africain sur les changements climatiques, la biodiversité et l’agriculture durable (CE-CCBAD) a célébré, mardi, la Journée mondiale de l’Alimentation 2018 autour du thème « Agir pour l’avenir » avec en point de mire la présentation des résultats de travaux d’étudiants en Master et PHD portant sur sept thématiques et l’animation de stands de cultures alimentaires améliorées dont le riz, le maïs, le manioc ou encore l’igname.
Dobo Sedoami Flora a travaillé sur « les systèmes agro forestiers dans la production vivrière en Côte d’Ivoire : état des lieux et perspectives ». Ehui Kouadio Jean Nestor a présenté ses résultats pour « l’optimisation de la productivité du manioc basée sur les bonnes pratiques », Koné Maïmouna, et deux autres étudiants, ont présenté « le manioc, une culture pour la sécurité alimentaire durable ».
Touré Howelé Mickaella a fait « l’état des lieux du niveau de connaissance des producteurs du changement climatique et ses impacts sur la culture du manioc en Côte d’Ivoire ». Pour sa part, Soddji Kpêdetin Ariel Frajus a planché sur « le rôle du niébé dans la sécurité alimentaire et la lutte contre les changements climatiques en Afrique ».
Enfin, Kotomalé Maurel a présenté « la méthode de production de l’igname par Miniset pour la contribution à la sécurité alimentaire ».
L’objectif de la cérémonie, qui se déroulait au pôle scientifique de l’université Félix Houphouët-Boigny, était d’informer les populations, la communauté scientifique et les partenaires sur les enjeux de la problématique de la sécurité alimentaire, les actions menées sur le terrain, l’évolution des recherches diverses mais convergentes tout en présentant le CE-CCBAD aux étudiants et à la population.
La cérémonie officielle de cette journée se déroule à Bouaké.
(AIP)
aaa/ask
Dobo Sedoami Flora a travaillé sur « les systèmes agro forestiers dans la production vivrière en Côte d’Ivoire : état des lieux et perspectives ». Ehui Kouadio Jean Nestor a présenté ses résultats pour « l’optimisation de la productivité du manioc basée sur les bonnes pratiques », Koné Maïmouna, et deux autres étudiants, ont présenté « le manioc, une culture pour la sécurité alimentaire durable ».
Touré Howelé Mickaella a fait « l’état des lieux du niveau de connaissance des producteurs du changement climatique et ses impacts sur la culture du manioc en Côte d’Ivoire ». Pour sa part, Soddji Kpêdetin Ariel Frajus a planché sur « le rôle du niébé dans la sécurité alimentaire et la lutte contre les changements climatiques en Afrique ».
Enfin, Kotomalé Maurel a présenté « la méthode de production de l’igname par Miniset pour la contribution à la sécurité alimentaire ».
L’objectif de la cérémonie, qui se déroulait au pôle scientifique de l’université Félix Houphouët-Boigny, était d’informer les populations, la communauté scientifique et les partenaires sur les enjeux de la problématique de la sécurité alimentaire, les actions menées sur le terrain, l’évolution des recherches diverses mais convergentes tout en présentant le CE-CCBAD aux étudiants et à la population.
La cérémonie officielle de cette journée se déroule à Bouaké.
(AIP)
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