La crise qui secoue actuellement le Bureau Ivoirien des Droits d’Auteurs (BURIDA) est loin de connaître un dénouement. En marge des intimidations et menaces, trois membres élus du conseil d’administration à savoir : Hassan David, Gbi de Fer et Tiane, tous administrateurs du conseil au BURIDA ont dit leur part de vérité devant plusieurs journalistes le mercredi 17 octobre à Abidjan-Plateau.
Selon les conférenciers, des mains obscures manoeuvreraient pour déstabiliser le conseil d’administration en l’occurrence les 4 élus des artistes qui siègent au conseil d’administration. Pour Gbi de Fer, la direction générale de l’institution de gestion collective de droit des artistes de Côte d’Ivoire esquive depuis le début le problème fondamental. Aux dires des conférenciers, c’est la révocation de dame Assa Irène Vieira, présidente du Burida que veulent les artistes. En effet, réunis en Assemblée générale ordinaire, les membres et la Direction du Bureau ivoirien du droit d’auteur (Burida) ont plaidé pour l’édiction d’un arsenal de gestion moins opaque. Toutefois, un modus vivendi a été trouvé entre les sociétaires, le Conseil d’administration et la Direction générale aux fins d’édicter un « Manuel de procédures » répondant aux règles modernes de gestion.
Malheureusement cette démarche comme l’exige les textes n’aurait pas plu au ministre et à la direction générale taxant les résolutions de cette rencontre de nul et nul effet selon les conférenciers. " le ministre s’entête à dissoudre le conseil d’administration, nous allons donner les noms de ceux qui spolient les revenus financiers des artistes " a menacé Gbi de Fer.
Pour Hassan David, membre du conseil d’administration, il faut s’en tenir aux textes et non à des arrêtés qui biaisent le mode de fonctionnement de cette institution. L’artiste Tiane, aussi membre du conseil d’administration a quant à elle indiqué que les 4 membres du conseil d’administration dont elle fait partie ont été élus par les artistes pour défendre leurs intérêts, alors elle ne cautionne pas cette forfaiture de la direction générale. Elle estime que c’est une mascarade qui tente à nuire les artistes. " je défendrai les artistes jusqu’au bout car c’est pour ça qu’ils m’ont élu " a-t-elle martelé.
CK
Selon les conférenciers, des mains obscures manoeuvreraient pour déstabiliser le conseil d’administration en l’occurrence les 4 élus des artistes qui siègent au conseil d’administration. Pour Gbi de Fer, la direction générale de l’institution de gestion collective de droit des artistes de Côte d’Ivoire esquive depuis le début le problème fondamental. Aux dires des conférenciers, c’est la révocation de dame Assa Irène Vieira, présidente du Burida que veulent les artistes. En effet, réunis en Assemblée générale ordinaire, les membres et la Direction du Bureau ivoirien du droit d’auteur (Burida) ont plaidé pour l’édiction d’un arsenal de gestion moins opaque. Toutefois, un modus vivendi a été trouvé entre les sociétaires, le Conseil d’administration et la Direction générale aux fins d’édicter un « Manuel de procédures » répondant aux règles modernes de gestion.
Malheureusement cette démarche comme l’exige les textes n’aurait pas plu au ministre et à la direction générale taxant les résolutions de cette rencontre de nul et nul effet selon les conférenciers. " le ministre s’entête à dissoudre le conseil d’administration, nous allons donner les noms de ceux qui spolient les revenus financiers des artistes " a menacé Gbi de Fer.
Pour Hassan David, membre du conseil d’administration, il faut s’en tenir aux textes et non à des arrêtés qui biaisent le mode de fonctionnement de cette institution. L’artiste Tiane, aussi membre du conseil d’administration a quant à elle indiqué que les 4 membres du conseil d’administration dont elle fait partie ont été élus par les artistes pour défendre leurs intérêts, alors elle ne cautionne pas cette forfaiture de la direction générale. Elle estime que c’est une mascarade qui tente à nuire les artistes. " je défendrai les artistes jusqu’au bout car c’est pour ça qu’ils m’ont élu " a-t-elle martelé.
CK