San Pedro– Les vendeuses grossistes, mareyeuses et détaillantes de poissons du port de pêche de San Pedro, au sein du Port autonome de San Pedro (PASP), ont présenté officiellement, au centre culturel, la coopérative qu’elles ont mise sur pied pour mieux s’organiser, rendre plus crédible et plus performant leur commerce.
Soutenues par le Secrétaire d’Etat chargé de la promotion des PME, Anoblé Miezan Félix, parrain de la cérémonie, et par le Directeur général du PASP, Marcel Hilaire Lamizana, les vendeuses de poissons du PASP, au nombre de 240, ont lancé le processus de création de leur coopérative en 2014. Il a abouti en 2017 à la publication officielle de l’existence du groupement dans le journal officiel de Côte d’Ivoire. La présidente de la coopérative, investie samedi, est Mme Niamkey Bénié Monique.
«Il était nécessaire de nous réunir pour booster notre rendement (…) ainsi, là où de manière isolée, nous n’aurions pas pu capter d’importants marchés, aujourd’hui par la grâce de Dieu, avec nos efforts conjugués, nous traitons un trafic plus important », a déclaré la porte-parole de la coopérative, Tiéléo Dénise, vice-présidente, notant également le soutien d’institutions internationales.
Les vendeuses ont remercié la Direction générale du PASP pour son soutien matériel et moral, sans lequel ce projet n’aurait pu voir le jour, eu égard aux réticences des femmes au départ, surtout que, note-t-on, avec le démarrage de la pêche aux thons au Port de pêche de San Pedro, la coopérative a pu en acheter plusieurs tonnes par semaine. Les vendeuses n’auraient pas pu, selon elles-mêmes, réussir isolement cette performance.
Le représentant du DG du Port, Col Brou Barthélemy, chef du département sureté et sécurité du PASP, et celui du Secrétaire d’Etat, Gueu Paulin, adjoint au maire, ont salué le courage de ces femmes vendeuses de poissons du PASP et souligné l’important rôle qu’elles jouent dans la vie socioéconomique de San Pedro, en approvisionnant quotidiennement les marchés.
Soutenues par leur faîtière nationale, les vendeuses de poissons du PASP, en quittant le secteur informel pour s’organiser en société coopérative, se donnent la chance d’accéder aux ressources économiques, aux crédits financiers, à la justice et à la défense de leurs droits, à l’amélioration de leur environnement de travail, a-t-on souligné.
jmk/fmo
Soutenues par le Secrétaire d’Etat chargé de la promotion des PME, Anoblé Miezan Félix, parrain de la cérémonie, et par le Directeur général du PASP, Marcel Hilaire Lamizana, les vendeuses de poissons du PASP, au nombre de 240, ont lancé le processus de création de leur coopérative en 2014. Il a abouti en 2017 à la publication officielle de l’existence du groupement dans le journal officiel de Côte d’Ivoire. La présidente de la coopérative, investie samedi, est Mme Niamkey Bénié Monique.
«Il était nécessaire de nous réunir pour booster notre rendement (…) ainsi, là où de manière isolée, nous n’aurions pas pu capter d’importants marchés, aujourd’hui par la grâce de Dieu, avec nos efforts conjugués, nous traitons un trafic plus important », a déclaré la porte-parole de la coopérative, Tiéléo Dénise, vice-présidente, notant également le soutien d’institutions internationales.
Les vendeuses ont remercié la Direction générale du PASP pour son soutien matériel et moral, sans lequel ce projet n’aurait pu voir le jour, eu égard aux réticences des femmes au départ, surtout que, note-t-on, avec le démarrage de la pêche aux thons au Port de pêche de San Pedro, la coopérative a pu en acheter plusieurs tonnes par semaine. Les vendeuses n’auraient pas pu, selon elles-mêmes, réussir isolement cette performance.
Le représentant du DG du Port, Col Brou Barthélemy, chef du département sureté et sécurité du PASP, et celui du Secrétaire d’Etat, Gueu Paulin, adjoint au maire, ont salué le courage de ces femmes vendeuses de poissons du PASP et souligné l’important rôle qu’elles jouent dans la vie socioéconomique de San Pedro, en approvisionnant quotidiennement les marchés.
Soutenues par leur faîtière nationale, les vendeuses de poissons du PASP, en quittant le secteur informel pour s’organiser en société coopérative, se donnent la chance d’accéder aux ressources économiques, aux crédits financiers, à la justice et à la défense de leurs droits, à l’amélioration de leur environnement de travail, a-t-on souligné.
jmk/fmo