Kuala Lumpur (Malaisie)- Le directeur Afrique subsaharienne de Qnet, Biram Fall, exhorte les distributeurs indépendants de Qnet à respecter la déontologie de l'entreprise de vente directe par réseau.
"A propos des personnes qui utilisent le dispositif de Qnet pour perpétrer des actes répréhensibles, nous, nous disons que si vous ne suivez pas de manière générale la déontologie de l'industrie et le club étique de Qnet et que vous avez maille à partir avec la justice, il faut que force reste à la loi", a-t-il indiqué lundi à Kuala Lumpur, en Malaisie.
"Vous allez escroquer n'importe qui à Conakry, a Lomé ou à Abidjan et la personne porte plainte contre vous, les choses vont se passer selon la loi. Nous ne sommes pas là pour protéger des gens qui nous utilisent pour faire autre chose", a-t-il ajouté, en précisant qu'à côté de ces personnes, il y a des gens qui font cette activité de manière honnête.
Selon M. Fall, toutefois à côté de ceux-là, il y a des femmes et des hommes par centaines qui font cette activité de façon honnête et qui ont fait des formations, qui ont commencé à mener l’activité à temps partiel et qui ont fini par en faire une activité à temps plein. Ces personnes, au bout de deux, trois voire cinq ans, ont des revenus stables et des filleuls dans leurs pays et les pays limitrophes.
Biram Fall a souligné que quand certaines de ces personnes se retrouvent parfois en prison ou dans les commissariats, il y a un département au niveau du Qnet qui est chargé de résoudre ce problème. Lorsqu'il s'avère que ce que le distributeur indépendant a fait est démontré, les sanctions vont d'un simple avertissement à la radiation définitive en passant par une suspension temporaire de l'activité.
Il s' exprimait lundi à Kuala Lumpur lors d'une visite du holding, le Quest International (QI), propriétaire d'un ensemble de sociétés dont Qnet.
sdaf/cmas
"A propos des personnes qui utilisent le dispositif de Qnet pour perpétrer des actes répréhensibles, nous, nous disons que si vous ne suivez pas de manière générale la déontologie de l'industrie et le club étique de Qnet et que vous avez maille à partir avec la justice, il faut que force reste à la loi", a-t-il indiqué lundi à Kuala Lumpur, en Malaisie.
"Vous allez escroquer n'importe qui à Conakry, a Lomé ou à Abidjan et la personne porte plainte contre vous, les choses vont se passer selon la loi. Nous ne sommes pas là pour protéger des gens qui nous utilisent pour faire autre chose", a-t-il ajouté, en précisant qu'à côté de ces personnes, il y a des gens qui font cette activité de manière honnête.
Selon M. Fall, toutefois à côté de ceux-là, il y a des femmes et des hommes par centaines qui font cette activité de façon honnête et qui ont fait des formations, qui ont commencé à mener l’activité à temps partiel et qui ont fini par en faire une activité à temps plein. Ces personnes, au bout de deux, trois voire cinq ans, ont des revenus stables et des filleuls dans leurs pays et les pays limitrophes.
Biram Fall a souligné que quand certaines de ces personnes se retrouvent parfois en prison ou dans les commissariats, il y a un département au niveau du Qnet qui est chargé de résoudre ce problème. Lorsqu'il s'avère que ce que le distributeur indépendant a fait est démontré, les sanctions vont d'un simple avertissement à la radiation définitive en passant par une suspension temporaire de l'activité.
Il s' exprimait lundi à Kuala Lumpur lors d'une visite du holding, le Quest International (QI), propriétaire d'un ensemble de sociétés dont Qnet.
sdaf/cmas
