Yamoussoukro- Les revendeurs, applicateurs et prescripteurs des produits phytosanitaires ont entamé depuis lundi à Yamoussoukro, un atelier de renforcement des capacités sur la gestion professionnelle des produits phytosanitaires afin d'éviter les conséquences drastiques sur l'environnement et la santé des populations.
L’atelier est initié par l’Association des entreprises nationales phytosanitaires de Côte d’Ivoire (AMEPHCI) regroupant 11 organisations. Il a pour thème « Activité phytosanitaire dans un contexte de changement climatique ».
Le président de l’AMEPHCI, N’Zi Claude Bernard Amon, par ailleurs directeur général de la société Phytotop, a indiqué à l’ouverture des travaux que l’objectif est des donner des connaissances nécessaires aux professionnels des produits phytosanitaires de sorte que dans l’utilisation et l’entreposage des produits, ils tiennent compte des conditions et du changement climatique (inondation, vent, sécheresse...).
« Ce, pour éviter les risques de contamination des acteurs eux-mêmes, les personnes autour, les consommateurs et de l’environnement et d’éviter les menaces économiques sur le rendement », a fait remarquer M. N’Zi.
La session de formation de cinq jours est la deuxième du genre après celle de septembre 2017 sur l’engagement des entreprises phytosanitaires dans la lutte contre la fraude et la contrebande. Elle vise à professionnaliser l’activité phytosanitaire, à actualiser le niveau et la capacité technique des acteurs pour la protection des cultures.
L’inspecteur phytosanitaire et de la qualité, Gaston Kouassi qui représentait le patron de la direction de la protection des végétaux, du contrôle et de la qualité (DPVCQ) au ministère de l'Agriculture et du Développement rural a rappelé que l’activité phytosanitaire est régularisée, doit être respectée et doit tenir compte de l’environnement pour garantir l’agriculture et préserver la santé des populations.
nam/cmas
L’atelier est initié par l’Association des entreprises nationales phytosanitaires de Côte d’Ivoire (AMEPHCI) regroupant 11 organisations. Il a pour thème « Activité phytosanitaire dans un contexte de changement climatique ».
Le président de l’AMEPHCI, N’Zi Claude Bernard Amon, par ailleurs directeur général de la société Phytotop, a indiqué à l’ouverture des travaux que l’objectif est des donner des connaissances nécessaires aux professionnels des produits phytosanitaires de sorte que dans l’utilisation et l’entreposage des produits, ils tiennent compte des conditions et du changement climatique (inondation, vent, sécheresse...).
« Ce, pour éviter les risques de contamination des acteurs eux-mêmes, les personnes autour, les consommateurs et de l’environnement et d’éviter les menaces économiques sur le rendement », a fait remarquer M. N’Zi.
La session de formation de cinq jours est la deuxième du genre après celle de septembre 2017 sur l’engagement des entreprises phytosanitaires dans la lutte contre la fraude et la contrebande. Elle vise à professionnaliser l’activité phytosanitaire, à actualiser le niveau et la capacité technique des acteurs pour la protection des cultures.
L’inspecteur phytosanitaire et de la qualité, Gaston Kouassi qui représentait le patron de la direction de la protection des végétaux, du contrôle et de la qualité (DPVCQ) au ministère de l'Agriculture et du Développement rural a rappelé que l’activité phytosanitaire est régularisée, doit être respectée et doit tenir compte de l’environnement pour garantir l’agriculture et préserver la santé des populations.
nam/cmas