Abidjan- Quelque 170 faussaires spécialisés en fausses monnaies sur le marché noir ont été arrêtés jeudi par la police zimbabwéenne, dans le cadre d'une campagne contre le commerce illégal de devises qui a entraîné une hausse des prix des produits importés.
Cette importante prise intervient quelques jours après la suspension par la banque centrale de quatre de ses administrateurs de premier plan, soupçonnés d'être impliqués dans des transactions sur le marché noir.
Un jeune stratège en communication, William Mutumanje, également appelé « Acie Lumumba », engagé par le ministre des Finances, a dénoncé l'implication présumée de la banque centrale dans les transactions sur le marché noir de la monnaie.
M. Mutumanje avait prétendu qu'il y avait un clivage entre le président du Zimbabwe, Emmerson Mnangawa, et son vice-président, Constantino Chiwenga.
Ces révélations ont entraîné son limogeage et sa capacité à occuper la fonction a été remise en cause. Face à cette situation, Mutumanje a menacé de dénoncer un homme d'affaires qui financerait le gouvernement ainsi qu'un homme qui, selon lui, était derrière des cartels importants.
tls/cmas
Cette importante prise intervient quelques jours après la suspension par la banque centrale de quatre de ses administrateurs de premier plan, soupçonnés d'être impliqués dans des transactions sur le marché noir.
Un jeune stratège en communication, William Mutumanje, également appelé « Acie Lumumba », engagé par le ministre des Finances, a dénoncé l'implication présumée de la banque centrale dans les transactions sur le marché noir de la monnaie.
M. Mutumanje avait prétendu qu'il y avait un clivage entre le président du Zimbabwe, Emmerson Mnangawa, et son vice-président, Constantino Chiwenga.
Ces révélations ont entraîné son limogeage et sa capacité à occuper la fonction a été remise en cause. Face à cette situation, Mutumanje a menacé de dénoncer un homme d'affaires qui financerait le gouvernement ainsi qu'un homme qui, selon lui, était derrière des cartels importants.
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