Abidjan- Une trentaine d'acteurs du secteur de l’aquaculture ont entamé, lundi, à Jacqueville, une session de renforcement des capacités sur la gestion durable d’une exploitation aquacole initiée par le ministère des Ressources animales et halieutiques (MIRAH), rapporte un communiqué parvenu, mardi, à l'AIP.
Cet atelier, axé sur les bonnes pratiques aquacoles ainsi que les techniques de production et d’alimentation du poisson, s’inscrit dans le cadre de la consolidation des acquis des différents projets de développement aquacole mis en œuvre actuellement par le ministère des Ressources animales et halieutiques avec l’appui des partenaires techniques et financiers, a exprimé, à l'ouverture des travaux le directeur de cabinet du MIRAH, Meïté Zoumana Anlyou.
Ces projets, a-t-il fait savoir, ont permis d’atteindre des résultats satisfaisants notamment dans les domaines de l’amélioration génétique des espèces piscicultivables et des bonnes pratiques aquacoles.
La couverture des besoins en protéines halieutiques en Côte d’Ivoire est tributaire à près de 80% des importations et la contribution de l’aquaculture demeure encore très faible. En vue de relever ces défis, le ministère des Ressources animales et halieutiques, à travers le plan stratégique de développement de l’élevage, de la pêche et de l’aquaculture (PSDEPA 2014-2020), ambitionne de produire à terme 200.000 tonnes de poissons par la mise en place de projets aquacoles avec l’appui des partenaires techniques et financiers.
bsp/ask
Cet atelier, axé sur les bonnes pratiques aquacoles ainsi que les techniques de production et d’alimentation du poisson, s’inscrit dans le cadre de la consolidation des acquis des différents projets de développement aquacole mis en œuvre actuellement par le ministère des Ressources animales et halieutiques avec l’appui des partenaires techniques et financiers, a exprimé, à l'ouverture des travaux le directeur de cabinet du MIRAH, Meïté Zoumana Anlyou.
Ces projets, a-t-il fait savoir, ont permis d’atteindre des résultats satisfaisants notamment dans les domaines de l’amélioration génétique des espèces piscicultivables et des bonnes pratiques aquacoles.
La couverture des besoins en protéines halieutiques en Côte d’Ivoire est tributaire à près de 80% des importations et la contribution de l’aquaculture demeure encore très faible. En vue de relever ces défis, le ministère des Ressources animales et halieutiques, à travers le plan stratégique de développement de l’élevage, de la pêche et de l’aquaculture (PSDEPA 2014-2020), ambitionne de produire à terme 200.000 tonnes de poissons par la mise en place de projets aquacoles avec l’appui des partenaires techniques et financiers.
bsp/ask