Séguéla – L’itinéraire technique pour la production du cajou de bonne qualité a été enseigné aux producteurs du département de Séguéla lors d’une séance de sensibilisation de masse organisée mercredi à la rotonde de la radio ‘’La voix du Worodougou’’ par l’Agence nationale d’appui au développement rural (ANADER).
« Il est important que le producteur ne secoue pas l’arbre parce que l’anacarde, c’est un fruit qui se ramasse et non qui se cueille », a, d’emblée, conseillé le coordonnateur des filières coton, anacarde, mangue et foresterie, Dr Bassomori Traoré.
Par la suite, arrivent les étapes de la séparation de la noix d’avec la pomme à l’aide d’une ficelle, du séchage sur des claies, du triage pour éliminer les noix défectueuses ainsi que du refroidissement du produit à l’ombre, avant sa mise dans des sacs en jute.
« Dès qu’ils l’ont fait, les paysans doivent vendre parce qu’ils ne disposent pas d’enceinte pour stocker convenablement leurs productions », a-t-il adjoint, tout en appelant ceux-ci à lutter contre la fuite vers les pays limitrophes, véritable ‘’manque à gagner pour l’Etat de Côte d’Ivoire’’ mais également pour les populations qui perdent dès lors une parafiscalité qui aurait pu être prélevée pour contribuer au développement des infrastructures dans les régions productrices de la noix de cajou.
Après Séguéla, ce sont les producteurs de Bouna et d’Agnibilékro qui seront sensibilisés à partir de vendredi, note-t-on.
Premier producteur mondial de noix de cajou brut, la Côte d’Ivoire table maintenant sur la qualité pour assurer de meilleurs revenus aux producteurs dont 33 914 ont été formés depuis 2014 au cours du conseil agricole dédié de l’ANADER soutenue par le Conseil du coton et de l’anacarde (CCA) et le Fonds interprofessionnel pour la recherche et le conseil agricole (FIRCA).
(AIP)
kkp/ask
« Il est important que le producteur ne secoue pas l’arbre parce que l’anacarde, c’est un fruit qui se ramasse et non qui se cueille », a, d’emblée, conseillé le coordonnateur des filières coton, anacarde, mangue et foresterie, Dr Bassomori Traoré.
Par la suite, arrivent les étapes de la séparation de la noix d’avec la pomme à l’aide d’une ficelle, du séchage sur des claies, du triage pour éliminer les noix défectueuses ainsi que du refroidissement du produit à l’ombre, avant sa mise dans des sacs en jute.
« Dès qu’ils l’ont fait, les paysans doivent vendre parce qu’ils ne disposent pas d’enceinte pour stocker convenablement leurs productions », a-t-il adjoint, tout en appelant ceux-ci à lutter contre la fuite vers les pays limitrophes, véritable ‘’manque à gagner pour l’Etat de Côte d’Ivoire’’ mais également pour les populations qui perdent dès lors une parafiscalité qui aurait pu être prélevée pour contribuer au développement des infrastructures dans les régions productrices de la noix de cajou.
Après Séguéla, ce sont les producteurs de Bouna et d’Agnibilékro qui seront sensibilisés à partir de vendredi, note-t-on.
Premier producteur mondial de noix de cajou brut, la Côte d’Ivoire table maintenant sur la qualité pour assurer de meilleurs revenus aux producteurs dont 33 914 ont été formés depuis 2014 au cours du conseil agricole dédié de l’ANADER soutenue par le Conseil du coton et de l’anacarde (CCA) et le Fonds interprofessionnel pour la recherche et le conseil agricole (FIRCA).
(AIP)
kkp/ask