Apporter sa modeste contribution aux débats sur la thématique complexe qu’est la traite des personnes, du fait des multiples facettes qu’elle recouvre et de toutes les implications qu’elle véhicule en terme de droits humains et plus particulièrement de ceux des femmes et des enfants victimes de toute sorte de maltraitance dont l’exploitation sexuelle.
C’est l’ambition qui a conduit le Ministère de l’Intégration africaine et des ivoiriens de l’extérieur (MIAIE), à travers sa Direction des politiques communautaires de la promotion humaine et du développement durable, dans l’organisation d’un atelier d’échanges sur la lutte contre l’exploitation sexuelle transfrontalière des femmes en Afrique de l’ouest : cas de la Côte d’Ivoire.
La salle de conférence du MIAIE au 22ème étage de la Tour C de la cité administrative du Plateau a abrité cet atelier, dont l’ouverture s’est déroulée le mercredi 31 octobre 2018, sous la présidence du Chef de cabinet, Mme Aminata Ouattara Coulibaly.
En effet, il a été question d’approfondir la réflexion sur les mécanismes actuels de lutte contre l’exploitation sexuelle transfrontalière des femmes en Afrique de l’ouest et identifier des pistes innovantes de solutions.
Plusieurs ministères sectoriels, des représentants des organisations internationales et régionales, de la Société Civile, du Secteur Privé, ont pris part à ces travaux qui ont permis d’identifier les causes, les réseaux de traite et les victimes de ce fléau. Mais également, d’inventorier des actions prioritaires visant la réduction du phénomène et formuler à l’endroit du Ministère de la Femme, de la Famille, et de l’Enfant, des recommandations de politiques de lutte contre l’exploitation sexuelle transfrontalière des femmes.
Selon le chef de cabinet du MIAIE, l’exploitation sexuelle des femmes organisée par des réseaux mafieux sans frontière, met profondément en crise les droits de la femme, son honorabilité, sa citoyenneté et sa respectabilité.
‘’En prenant donc l’initiative d’une telle rencontre, le Ministère n’a pas d’autres intentions que de fédérer les énergies autour de cette thématique qui mobilise aujourd’hui le monde entier’’.
« Il vous encourage à réfléchir ensemble sur les initiatives et mécanismes de coopération régionale et sous régionale qui peuvent être élaborées pour lutter contre ce fléau et améliorer la situation des droits des femmes », a déclaré Mme Ouattara Aminata Coulibaly à l’endroit des participants de cet atelier, avant de souhaiter une réussite totale à ces travaux.
JOB
C’est l’ambition qui a conduit le Ministère de l’Intégration africaine et des ivoiriens de l’extérieur (MIAIE), à travers sa Direction des politiques communautaires de la promotion humaine et du développement durable, dans l’organisation d’un atelier d’échanges sur la lutte contre l’exploitation sexuelle transfrontalière des femmes en Afrique de l’ouest : cas de la Côte d’Ivoire.
La salle de conférence du MIAIE au 22ème étage de la Tour C de la cité administrative du Plateau a abrité cet atelier, dont l’ouverture s’est déroulée le mercredi 31 octobre 2018, sous la présidence du Chef de cabinet, Mme Aminata Ouattara Coulibaly.
En effet, il a été question d’approfondir la réflexion sur les mécanismes actuels de lutte contre l’exploitation sexuelle transfrontalière des femmes en Afrique de l’ouest et identifier des pistes innovantes de solutions.
Plusieurs ministères sectoriels, des représentants des organisations internationales et régionales, de la Société Civile, du Secteur Privé, ont pris part à ces travaux qui ont permis d’identifier les causes, les réseaux de traite et les victimes de ce fléau. Mais également, d’inventorier des actions prioritaires visant la réduction du phénomène et formuler à l’endroit du Ministère de la Femme, de la Famille, et de l’Enfant, des recommandations de politiques de lutte contre l’exploitation sexuelle transfrontalière des femmes.
Selon le chef de cabinet du MIAIE, l’exploitation sexuelle des femmes organisée par des réseaux mafieux sans frontière, met profondément en crise les droits de la femme, son honorabilité, sa citoyenneté et sa respectabilité.
‘’En prenant donc l’initiative d’une telle rencontre, le Ministère n’a pas d’autres intentions que de fédérer les énergies autour de cette thématique qui mobilise aujourd’hui le monde entier’’.
« Il vous encourage à réfléchir ensemble sur les initiatives et mécanismes de coopération régionale et sous régionale qui peuvent être élaborées pour lutter contre ce fléau et améliorer la situation des droits des femmes », a déclaré Mme Ouattara Aminata Coulibaly à l’endroit des participants de cet atelier, avant de souhaiter une réussite totale à ces travaux.
JOB