Plusieurs élèves du lycée moderne 3 de Divo ont fait interrompre les cours mercredi dans leur établissement, pour protester contre le déficit criant de table-bancs, a constaté l’AIP.
Elèves et enseignants se sont retrouvés dans les rues par la volonté des premiers qui estimaient que sans « le minimum pour tous », aucun enseignement ne pouvait être dispensé au lycée 3.
Anciennement collège moderne de Divo, le lycée 3 souffre de plusieurs maux dont la mauvaise qualité de ses nouveaux bâtiments et l’insuffisance des table-bancs.
« Cette année, nous n’avons pas fait cotiser les élèves pour l’équipement en bancs et le conseil régional qui a la mission de nous aider traîne les pieds », a expliqué un membre de l’équipe de direction de l’école.
Plusieurs élèves ont confié à l’AIP que leur mouvement pourrait gagner en ampleur et s’étendre à d’autres écoles si « rien n’est fait dans l’immédiat ».
Le lycée moderne 3 de Divo a la réputation de foyer de source d’où naissent les principaux mouvements de perturbation de l’école dans la capitale de la région du Lôh-Djiboua, rappelle-t-on.
(AIP)
gso/tm
Elèves et enseignants se sont retrouvés dans les rues par la volonté des premiers qui estimaient que sans « le minimum pour tous », aucun enseignement ne pouvait être dispensé au lycée 3.
Anciennement collège moderne de Divo, le lycée 3 souffre de plusieurs maux dont la mauvaise qualité de ses nouveaux bâtiments et l’insuffisance des table-bancs.
« Cette année, nous n’avons pas fait cotiser les élèves pour l’équipement en bancs et le conseil régional qui a la mission de nous aider traîne les pieds », a expliqué un membre de l’équipe de direction de l’école.
Plusieurs élèves ont confié à l’AIP que leur mouvement pourrait gagner en ampleur et s’étendre à d’autres écoles si « rien n’est fait dans l’immédiat ».
Le lycée moderne 3 de Divo a la réputation de foyer de source d’où naissent les principaux mouvements de perturbation de l’école dans la capitale de la région du Lôh-Djiboua, rappelle-t-on.
(AIP)
gso/tm