Abidjan – Plus de 200 gardes pénitentiaires issus des rangs des ex-combattants suivent depuis jeudi une formation sur les questions des droits de l’Homme et de leur application au milieu carcéral.
Cette formation initiée par le conseil national de sécurité (CNS) en partenariat avec le programme des nations unies pour le développement (PNUD) et la Commission Nationale des Droits de l'Homme (CNDH) va également permettre de leur inculquer les règles de discipline et de déontologie.
Ce séminaire de formation s’inscrit notamment dans le cadre de la réforme du secteur de la sécurité (RSS), dans son pilier « Etat de droit et relations internationales », qui prévoit en sa composante 37 en particulier « d’engager la réforme du système pénitentiaire ».
« Nous voulons renforcer les connaissances de base des agents en matière de droits de l’homme, pour un meilleur exercice de leur métier, permettre aux agents de partager leurs expériences et obtenir des réponses à leurs préoccupations dans l’exercice de leur métier, sensibiliser les agents sur les reproches faits par les populations, inculquer les règles de discipline et de déontologie dans les établissements pénitentiaires et les corps militaires et paramilitaires », a indiqué le représentant du secrétaire général du conseil national de Sécurité, Patrick Kassi.
Le directeur de l'administration pénitentiaire, Boubacar Coulibaly, par ailleurs, représentant du ministère de la Justice et le représentant du PNUD ont exhorté les participants à mettre en pratique ce qu'ils auront théoriquement appris au cours de ces assises.
(AIP)
kkf/tm
Cette formation initiée par le conseil national de sécurité (CNS) en partenariat avec le programme des nations unies pour le développement (PNUD) et la Commission Nationale des Droits de l'Homme (CNDH) va également permettre de leur inculquer les règles de discipline et de déontologie.
Ce séminaire de formation s’inscrit notamment dans le cadre de la réforme du secteur de la sécurité (RSS), dans son pilier « Etat de droit et relations internationales », qui prévoit en sa composante 37 en particulier « d’engager la réforme du système pénitentiaire ».
« Nous voulons renforcer les connaissances de base des agents en matière de droits de l’homme, pour un meilleur exercice de leur métier, permettre aux agents de partager leurs expériences et obtenir des réponses à leurs préoccupations dans l’exercice de leur métier, sensibiliser les agents sur les reproches faits par les populations, inculquer les règles de discipline et de déontologie dans les établissements pénitentiaires et les corps militaires et paramilitaires », a indiqué le représentant du secrétaire général du conseil national de Sécurité, Patrick Kassi.
Le directeur de l'administration pénitentiaire, Boubacar Coulibaly, par ailleurs, représentant du ministère de la Justice et le représentant du PNUD ont exhorté les participants à mettre en pratique ce qu'ils auront théoriquement appris au cours de ces assises.
(AIP)
kkf/tm
