Abidjan– S’exprimant jeudi à Johannesburg, en Afrique du Sud, à l’ouverture de la première édition Africa Investment Forum (AIF), le président de la Banque africaine de développement (BAD), Akinwumi Adesina a fait part de sa vision pour transformer l’Afrique.
Selon un communiqué publié vendredi par APO Group, dans son allocution d’ouverture, Akinwumi Adesina a donné un aperçu des perspectives dont regorgent les secteurs de l’énergie et de l’agriculture sur le continent. Et de reconnaître que l’Afrique affiche un déficit massif en infrastructures – des ports aux chemins de fer, en passant par les routes, l’électricité et les technologies de l’information et de la communication, indispensables pour stimuler sa compétitivité sur les marchés internationaux.
Dans les infrastructures, l’Afrique se heurte à un déficit de financement oscillant entre 68 à 108 milliards de dollars par an, d’après la BAD. Pour Akinwumi Adesina, cela signifie aussi que pour les seules infrastructures, l’Afrique offre des opportunités d’investissement de 68 à 108 milliards de dollars par an.
Par exemple, le secteur de l’énergie recèle à lui seul des possibilités d’investissement de l’ordre de 30 milliards de dollars par an, en exploitant les vastes ressources de l’Afrique en gaz dans les énergies solaire, hydroélectrique, éolienne et géothermique. Les perspectives d’investissement abondent pour faire de l’Afrique la première région au monde en matière d’énergies renouvelables.
La BAD pilote le déploiement du programme « Desert to Power », afin de développer 10 000 MW d’énergie solaire dans toute la région du Sahel. Laquelle deviendra ainsi la plus grande zone d’énergie solaire de la planète.
Pour Africa Investment Forum, 306 projets d’une valeur totale de 208,8 milliards de dollars ont été développés. Au cours des trois jours de l’événement, 60 projets et transactions d’une valeur de 40,4 milliards de dollars sont au cœur des rencontres entre investisseurs et promoteurs, afin d’accélérer la conclusion de transactions et d’éliminer, le cas échéant, les contraintes politiques et réglementaires qui pourraient les freiner.
Plus de 330 investisseurs prennent part à ces échanges sur les investissements. AIF entend contribuer à réduire les frais d’intermédiation, à améliorer la qualité des informations et de la documentation relatives aux projets et à renforcer les liens d’engagements entre les gouvernements africains et le secteur privé. Au Forum, sont mis en lumière des projets dans des secteurs fort divers (énergie, infrastructures, transports et services publics, industrie, agriculture, TIC et télécoms, eau et assainissement, fonds et services financiers, santé, éducation, hôtellerie et tourisme, logement, transport aérien).
cmas
Selon un communiqué publié vendredi par APO Group, dans son allocution d’ouverture, Akinwumi Adesina a donné un aperçu des perspectives dont regorgent les secteurs de l’énergie et de l’agriculture sur le continent. Et de reconnaître que l’Afrique affiche un déficit massif en infrastructures – des ports aux chemins de fer, en passant par les routes, l’électricité et les technologies de l’information et de la communication, indispensables pour stimuler sa compétitivité sur les marchés internationaux.
Dans les infrastructures, l’Afrique se heurte à un déficit de financement oscillant entre 68 à 108 milliards de dollars par an, d’après la BAD. Pour Akinwumi Adesina, cela signifie aussi que pour les seules infrastructures, l’Afrique offre des opportunités d’investissement de 68 à 108 milliards de dollars par an.
Par exemple, le secteur de l’énergie recèle à lui seul des possibilités d’investissement de l’ordre de 30 milliards de dollars par an, en exploitant les vastes ressources de l’Afrique en gaz dans les énergies solaire, hydroélectrique, éolienne et géothermique. Les perspectives d’investissement abondent pour faire de l’Afrique la première région au monde en matière d’énergies renouvelables.
La BAD pilote le déploiement du programme « Desert to Power », afin de développer 10 000 MW d’énergie solaire dans toute la région du Sahel. Laquelle deviendra ainsi la plus grande zone d’énergie solaire de la planète.
Pour Africa Investment Forum, 306 projets d’une valeur totale de 208,8 milliards de dollars ont été développés. Au cours des trois jours de l’événement, 60 projets et transactions d’une valeur de 40,4 milliards de dollars sont au cœur des rencontres entre investisseurs et promoteurs, afin d’accélérer la conclusion de transactions et d’éliminer, le cas échéant, les contraintes politiques et réglementaires qui pourraient les freiner.
Plus de 330 investisseurs prennent part à ces échanges sur les investissements. AIF entend contribuer à réduire les frais d’intermédiation, à améliorer la qualité des informations et de la documentation relatives aux projets et à renforcer les liens d’engagements entre les gouvernements africains et le secteur privé. Au Forum, sont mis en lumière des projets dans des secteurs fort divers (énergie, infrastructures, transports et services publics, industrie, agriculture, TIC et télécoms, eau et assainissement, fonds et services financiers, santé, éducation, hôtellerie et tourisme, logement, transport aérien).
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