"Nous venons d’assister à une Abissa traditionnel" a déclaré Jean-Baptiste Amichia, président du comité d’organisation de fête annuelle des N’zima Kôtôkô ce samedi 10 novembre au terme des festivités de l’Abissa 2018.
"Dans la tradition lorsqu’on décide de faire l’Abissa en un jour, la famille détentrice du tam-tam procède à un rituel pour éloigner les calamités et ce rituel a pris beaucoup plus de temps que prévu avant que le tam-tam ne sorte" a fait savoir le président du comité d’organisation. Poursuivant, Jean-Baptiste Amichia a expliqué que le tam-tam devait rentrer avant la nuit tombée, ainsi, le rituel ouvert au grand public, la partie festive n’a pu se tenir de ce fait et le roi n’a pu également effectuer sa parade habituelle.
"L’Abissa intimiste", comme l’a indiqué le président du comité d’organisation a respecté la pure tradition et était réservé cette année strictement au N’zima Kôtôkô. "Je félicite les organisateurs d’avoir imposé la tenue de cette importante célébration qui nous permet d’entrer de plein pied dans cette nouvelle année " s’est réjoui Jean Louis Moulot, maire élu de Grand-Bassam.
Pour le comité d’organisation, si les festivités ne se sont pas déroulées normalement, cela est dû au fait que la place de l’Abissa a été profanée par des individus et la cérémonie de purification a eu lieu seulement mercredi dernier. Le temps était donc limité pour le comité, pour une bonne organisation et recevoir les invités venus du monde entier.
DA
"Dans la tradition lorsqu’on décide de faire l’Abissa en un jour, la famille détentrice du tam-tam procède à un rituel pour éloigner les calamités et ce rituel a pris beaucoup plus de temps que prévu avant que le tam-tam ne sorte" a fait savoir le président du comité d’organisation. Poursuivant, Jean-Baptiste Amichia a expliqué que le tam-tam devait rentrer avant la nuit tombée, ainsi, le rituel ouvert au grand public, la partie festive n’a pu se tenir de ce fait et le roi n’a pu également effectuer sa parade habituelle.
"L’Abissa intimiste", comme l’a indiqué le président du comité d’organisation a respecté la pure tradition et était réservé cette année strictement au N’zima Kôtôkô. "Je félicite les organisateurs d’avoir imposé la tenue de cette importante célébration qui nous permet d’entrer de plein pied dans cette nouvelle année " s’est réjoui Jean Louis Moulot, maire élu de Grand-Bassam.
Pour le comité d’organisation, si les festivités ne se sont pas déroulées normalement, cela est dû au fait que la place de l’Abissa a été profanée par des individus et la cérémonie de purification a eu lieu seulement mercredi dernier. Le temps était donc limité pour le comité, pour une bonne organisation et recevoir les invités venus du monde entier.
DA