Odienné- Les travaux de bitumage de l’axe routier Odienné-Gbéléban ont repris ce samedi matin après un arrêt de travail de cinq jours, les travailleurs dénonçant le changement des contrats et souhaitant l’élection de délégués du personnel pour la bonne marche du chantier.
«Nous avons repris les travaux ce matin. Suite à la rencontre que nos représentants ont eu hier à la préfecture, le préfet nous a demandé de reprendre les travaux. C’est ce que nous avons fait ce matin. Nous faisons confiance au préfet pour la résolution des problèmes évoqués tels l’élection des délégués et la révision des contrats de travail », a expliqué Fofana Mory, ouvrier sur le chantier.
Toutes les sections ont repris le travail. Le vœux des ouvriers, c’est de travailler régulièrement tous les jours, la révision des contrats de travail pour leur permettre de gagner plus d’argent, et l’élection des délégués du personnel pour faciliter le dialogue entre les patrons chinois et les ouvriers.
Ouvert en février 2016, le bitumage de route Odienné-Gbéléban (71 km) est exécuté par la compagnie chinoise de travaux de ponts et chaussées (CNTPC). Le délai d’exécution prévu pour 24 mois a été prolongé de 12 mois, rappelle-t-on.
ss/tm
«Nous avons repris les travaux ce matin. Suite à la rencontre que nos représentants ont eu hier à la préfecture, le préfet nous a demandé de reprendre les travaux. C’est ce que nous avons fait ce matin. Nous faisons confiance au préfet pour la résolution des problèmes évoqués tels l’élection des délégués et la révision des contrats de travail », a expliqué Fofana Mory, ouvrier sur le chantier.
Toutes les sections ont repris le travail. Le vœux des ouvriers, c’est de travailler régulièrement tous les jours, la révision des contrats de travail pour leur permettre de gagner plus d’argent, et l’élection des délégués du personnel pour faciliter le dialogue entre les patrons chinois et les ouvriers.
Ouvert en février 2016, le bitumage de route Odienné-Gbéléban (71 km) est exécuté par la compagnie chinoise de travaux de ponts et chaussées (CNTPC). Le délai d’exécution prévu pour 24 mois a été prolongé de 12 mois, rappelle-t-on.
ss/tm