A l’occasion de la journée nationale de la paix, plusieurs guides religieux se sont réunis jeudi 15 novembre à Cocody au Centre National des Matières Scientifiques (CNMS) afin de parler paix autour du thème « Contribution des religieux et cultures africaines à une paix durable en Côte d’Ivoire et partout dans le monde. »
A l’entame de la cérémonie, Gboko Adjoumani, expert drummologue a traduit pour lui la paix par le tam-tam parleur.
Prenant la parole l’Imam Diarrassouba Djakaridja représentant des religieux musulmans a défini l’Islam comme étant la paix qui est aussi un autre nom de Dieu. Il a révélé cinq points fondamentaux à savoir sur la paix qui sont la considération de l’autre, le respect de l’autre, la fraternité humaine, l’égalité entre les hommes, et l’équité des rapports entres les autres.
« La paix est très importante pour l’église Dehima car en 1948 la prophétesse a rencontré le président Félix Houphouët-Boigny pour lui parler de la paix» a souligné le Pawaba Koffi Ettien Mathieu, chef religieux de l’église. La paix dira-t-il n’est pas un mot comme pouvait le dire Félix Houphouët-Boigny premier président de la Côte d’Ivoire mais c’est un comportement.
Il a invité les uns et les autres à aimer Dieu ainsi que son prochain et à respecter la vie et les rapports entre les autres. « La fraternité universelle peut exister si la haine disparaît entre tous les hommes » a-t-il confié. Pour lui, il est important de rechercher la paix car elle est le gage d’une stabilité économique, politique et sociale et pour y arriver il faut tout simplement pardonner.
Dans son introduction, M. Salam représentant de la religion Meshuim, a défini la paix comme l’absence de la guerre et de tous bruits. Il précise que la paix est un monde où règne le bonheur, là ou il n’y a pas de morts, ni de maladies et de souffrances. « La paix est un instrument très important car elle produit le développement, la liberté d’aller prêcher, de se déplacer, c’est aussi éviter de faire à autrui ce que tu ne veux pas qu’on te fasse » a indiqué M. Salam.
Le guide évêque Ya Boni Yves, guide national du mouvement raélien de Côte d’Ivoire a quant à lui soutenu que la paix est menacée. « C’est pour cela que nous lançons des campagnes et des actions pour mobiliser toute la population à travers la campagne ’’Une minute de méditation pour la paix’’ » a-t-il expliqué.
« Cette union que nous faisons entre nous les religieux, nous souhaitons que les hommes politiques qui sont de différents partis puissent en faire de même » a souhaité Ya Boni Yves.
Tous autour d’un cercle avec un ballon blanc en main, pensant et méditant à la paix, chacun a lancé le ballon dans le ciel pour symboliser la paix, c’est cette action qui a marqué la fin de cette rencontre.
P. R.
A l’entame de la cérémonie, Gboko Adjoumani, expert drummologue a traduit pour lui la paix par le tam-tam parleur.
Prenant la parole l’Imam Diarrassouba Djakaridja représentant des religieux musulmans a défini l’Islam comme étant la paix qui est aussi un autre nom de Dieu. Il a révélé cinq points fondamentaux à savoir sur la paix qui sont la considération de l’autre, le respect de l’autre, la fraternité humaine, l’égalité entre les hommes, et l’équité des rapports entres les autres.
« La paix est très importante pour l’église Dehima car en 1948 la prophétesse a rencontré le président Félix Houphouët-Boigny pour lui parler de la paix» a souligné le Pawaba Koffi Ettien Mathieu, chef religieux de l’église. La paix dira-t-il n’est pas un mot comme pouvait le dire Félix Houphouët-Boigny premier président de la Côte d’Ivoire mais c’est un comportement.
Il a invité les uns et les autres à aimer Dieu ainsi que son prochain et à respecter la vie et les rapports entre les autres. « La fraternité universelle peut exister si la haine disparaît entre tous les hommes » a-t-il confié. Pour lui, il est important de rechercher la paix car elle est le gage d’une stabilité économique, politique et sociale et pour y arriver il faut tout simplement pardonner.
Dans son introduction, M. Salam représentant de la religion Meshuim, a défini la paix comme l’absence de la guerre et de tous bruits. Il précise que la paix est un monde où règne le bonheur, là ou il n’y a pas de morts, ni de maladies et de souffrances. « La paix est un instrument très important car elle produit le développement, la liberté d’aller prêcher, de se déplacer, c’est aussi éviter de faire à autrui ce que tu ne veux pas qu’on te fasse » a indiqué M. Salam.
Le guide évêque Ya Boni Yves, guide national du mouvement raélien de Côte d’Ivoire a quant à lui soutenu que la paix est menacée. « C’est pour cela que nous lançons des campagnes et des actions pour mobiliser toute la population à travers la campagne ’’Une minute de méditation pour la paix’’ » a-t-il expliqué.
« Cette union que nous faisons entre nous les religieux, nous souhaitons que les hommes politiques qui sont de différents partis puissent en faire de même » a souhaité Ya Boni Yves.
Tous autour d’un cercle avec un ballon blanc en main, pensant et méditant à la paix, chacun a lancé le ballon dans le ciel pour symboliser la paix, c’est cette action qui a marqué la fin de cette rencontre.
P. R.