Abidjan- Le secrétaire d'Etat auprès du Premier ministre, Chargé de l'Investissement privé, Essis Esmel Emmanuel estime que les Investissements directs étrangers (IDE) sont essentiels pour la transformation de l’économie de la Côte d’Ivoire du fait de leurs appuis technologique, financier et matériel aux différents secteurs d'activités.
« La Côte d’Ivoire veut passer d’une économie agricole à une économie industrialisée, elle a donc beaucoup besoin des IDE pour la technologie et les capitaux étrangers, car notre épargne national n’est pas suffisante pour satisfaire les besoins de crédit des entreprises », a expliqué, vendredi, le secrétaire d’Etat, par ailleurs directeur général du Centre de promotion des investissements en Côte d’Ivoire (CEPICI), invité du Presse club de l’Union nationale des journalistes (UNJCI).
Selon lui, à défaut de technologie in-situ dans un pays, on est obligé de faire appelle à l’extérieur pour, non seulement, apporter la technologie, mais aussi la compétence et permettre à des investisseurs locaux d’acquérir progressivement des connaissances et ensuite être capables de les développer.
La croissance des IDE, ajoute-il, dénote de l’attractivité du pays. Ils ont un « impact net » sur l’économie, et ont une corrélation directe entre la croissance économique et le taux d’investissement par rapport au Produit national brut (PIB). Toutefois, il préconise un partenariat national local avec les IDE afin de s’approprier ces connaissances et ses technologies pour la création et le développement des entreprises.
En 2017, la Côte d'Ivoire a réussi à attirer près de 675 millions $ d'IDE, (environ 400 milliards de francs CFA), soit une augmentation de 17% par rapport à 2016, selon le rapport 2018 de la Conférence des Nations Unies sur le commerce et le développement sur les investissements mondiaux (CNUCED).
tad/fmo
« La Côte d’Ivoire veut passer d’une économie agricole à une économie industrialisée, elle a donc beaucoup besoin des IDE pour la technologie et les capitaux étrangers, car notre épargne national n’est pas suffisante pour satisfaire les besoins de crédit des entreprises », a expliqué, vendredi, le secrétaire d’Etat, par ailleurs directeur général du Centre de promotion des investissements en Côte d’Ivoire (CEPICI), invité du Presse club de l’Union nationale des journalistes (UNJCI).
Selon lui, à défaut de technologie in-situ dans un pays, on est obligé de faire appelle à l’extérieur pour, non seulement, apporter la technologie, mais aussi la compétence et permettre à des investisseurs locaux d’acquérir progressivement des connaissances et ensuite être capables de les développer.
La croissance des IDE, ajoute-il, dénote de l’attractivité du pays. Ils ont un « impact net » sur l’économie, et ont une corrélation directe entre la croissance économique et le taux d’investissement par rapport au Produit national brut (PIB). Toutefois, il préconise un partenariat national local avec les IDE afin de s’approprier ces connaissances et ses technologies pour la création et le développement des entreprises.
En 2017, la Côte d'Ivoire a réussi à attirer près de 675 millions $ d'IDE, (environ 400 milliards de francs CFA), soit une augmentation de 17% par rapport à 2016, selon le rapport 2018 de la Conférence des Nations Unies sur le commerce et le développement sur les investissements mondiaux (CNUCED).
tad/fmo