Rapprochement physique il y a eu, mais la désunion, elle, reste en entier. Entre le camp Pascal Affi N’Guessan et celui des ”Gbagbo ou rien” que dirigeait feue Abou Drahamane Sangaré, qui se disputent le contrôle du Front populaire ivoirien (FPI), la réconciliation semble davantage compromise. Surtout avec l’incident qui a eu lieu ce mercredi 14 novembre au domicile de l’ex-ministre des Affaires étrangères.
L’aubaine était bonne. Mais les égos ont prévalu. Lorsque Pascal Affi N’Guessan le président statutaire du Front populaire ivoirien (FPI) et sa délégation se rendaient en début de soirée au domicile du défunt Abou Drahamane Sangaré pour présenter ses condoléances, d’aucuns y voyaient l’occasion rêvée pour taire les querelles qui plombent la... suite de l'article sur Pôle Afrique
L’aubaine était bonne. Mais les égos ont prévalu. Lorsque Pascal Affi N’Guessan le président statutaire du Front populaire ivoirien (FPI) et sa délégation se rendaient en début de soirée au domicile du défunt Abou Drahamane Sangaré pour présenter ses condoléances, d’aucuns y voyaient l’occasion rêvée pour taire les querelles qui plombent la... suite de l'article sur Pôle Afrique