Des ambassadeurs, représentants des structures, institutions de l’Etat, secteur privé et de la société civile, sont réunis vendredi à Abidjan, dans le cadre d’une conférence internationale sur les Violences basées sur le genre (VBG), en vue de mieux comprendre les formes, causes, conséquences et ajuster les pistes d’interventions pour y faire face.
Le représentant du ministre de la Femme, de la Famille et de l’Enfant, Yacouba Doumbia, s’est félicité de cette rencontre qui donne l’occasion de réfléchir sur les approches et stratégies pour traquer ces violences, en prenant en compte les causes profondes.
« Nous devons briser le silence autour de la violence basée sur le genre, dénoncer les auteurs quels qui soient et agir ensemble, avec célérité », a-t-il recommandé.
Pour l’ambassadrice du Canada en Côte d’Ivoire, Julie Shouldice, c’est un sujet difficile mais très important. Elle a exprimé son soutien pour la cause, en soulignant l’importance de la femme dans le développement d’un pays.
La plus-value de cette Conférence Internationale est qu’elle a permis de faire une analyse approfondie des causes connues des VBG afin de mettre en lumière, les aspirations réelles qui les impulsent, les alimentent et les pérennisent.
Cette conférence s’est tenue en prélude à la campagne des « 16 jours d’activisme » contre les violences à l’égard des femmes et des filles dont le thème international est « Orangez le monde : écoutez moi aussi »
Quant au ministère de la Femme, de la Famille et de l’Enfant, il a retenu comme thème de cette 28e édition « Violences exercées sur les enfants : agissons ensemble et maintenant pour y mettre fin ».
Atapointe
Le représentant du ministre de la Femme, de la Famille et de l’Enfant, Yacouba Doumbia, s’est félicité de cette rencontre qui donne l’occasion de réfléchir sur les approches et stratégies pour traquer ces violences, en prenant en compte les causes profondes.
« Nous devons briser le silence autour de la violence basée sur le genre, dénoncer les auteurs quels qui soient et agir ensemble, avec célérité », a-t-il recommandé.
Pour l’ambassadrice du Canada en Côte d’Ivoire, Julie Shouldice, c’est un sujet difficile mais très important. Elle a exprimé son soutien pour la cause, en soulignant l’importance de la femme dans le développement d’un pays.
La plus-value de cette Conférence Internationale est qu’elle a permis de faire une analyse approfondie des causes connues des VBG afin de mettre en lumière, les aspirations réelles qui les impulsent, les alimentent et les pérennisent.
Cette conférence s’est tenue en prélude à la campagne des « 16 jours d’activisme » contre les violences à l’égard des femmes et des filles dont le thème international est « Orangez le monde : écoutez moi aussi »
Quant au ministère de la Femme, de la Famille et de l’Enfant, il a retenu comme thème de cette 28e édition « Violences exercées sur les enfants : agissons ensemble et maintenant pour y mettre fin ».
Atapointe