Odienné - L’association des jeunes éleveurs-agriculteurs modernes d’Odienné (AJELAMO) a procédé, mardi, à Odienné, au lancement d’un projet d’appui à la mobilité du bétail pour un meilleur accès aux ressources et marchés en Afrique (PAMOBARMA) de l’Ouest.
Le projet, d’une durée de 50 mois, vise les conditions d’accès aux ressources naturelles et à la mobilité des troupeaux à travers le renforcement des capacités des acteurs clefs de la filière au niveau transfrontalier. Il vise également les conditions de vie des populations agropastorales grâce à la fourniture d’aliment de bétail, au balisage des parcours, l’aménagement des équipements marchands et l’accès aux postes vétérinaires transfrontaliers.
La construction de quai d’embarquement, d’un barrage, la sécurisation et le balisage de 60 km de piste de transhumance sont entre autres les infrastructures que l’ AJELAMO doit réaliser dans la première phase du projet.
« Nous souhaitons vivement que les autorités administratives, les élus locaux, les chefs coutumiers et religieux, les professionnels de la filière bétail, les éleveurs et agriculteurs puissent établir les règles d’une collaboration franche et apaisée pour une cohabitation pacifique entre agriculteurs et éleveurs », a déclaré Sangaré Namoudou, président de l’association des éleveurs-agriculteurs.
Le projet est coordonné par l’Organisation internationale Acting for life (AFL) dans huit pays, à savoir le Niger, Mali, Burkina-Faso, Ghana, Nigeria, la Côte d’Ivoire, le Togo et le Bénin avec le soutien financier de l’agence française de développement et Air France.
(AIP)
ss/ask
Le projet, d’une durée de 50 mois, vise les conditions d’accès aux ressources naturelles et à la mobilité des troupeaux à travers le renforcement des capacités des acteurs clefs de la filière au niveau transfrontalier. Il vise également les conditions de vie des populations agropastorales grâce à la fourniture d’aliment de bétail, au balisage des parcours, l’aménagement des équipements marchands et l’accès aux postes vétérinaires transfrontaliers.
La construction de quai d’embarquement, d’un barrage, la sécurisation et le balisage de 60 km de piste de transhumance sont entre autres les infrastructures que l’ AJELAMO doit réaliser dans la première phase du projet.
« Nous souhaitons vivement que les autorités administratives, les élus locaux, les chefs coutumiers et religieux, les professionnels de la filière bétail, les éleveurs et agriculteurs puissent établir les règles d’une collaboration franche et apaisée pour une cohabitation pacifique entre agriculteurs et éleveurs », a déclaré Sangaré Namoudou, président de l’association des éleveurs-agriculteurs.
Le projet est coordonné par l’Organisation internationale Acting for life (AFL) dans huit pays, à savoir le Niger, Mali, Burkina-Faso, Ghana, Nigeria, la Côte d’Ivoire, le Togo et le Bénin avec le soutien financier de l’agence française de développement et Air France.
(AIP)
ss/ask
