Abidjan- Le directeur de cabinet du ministère de l’Economie et des Finances, Adama Coulibaly a exhorté les sociétés d’assurance implantées en Côte d’Ivoire à œuvrer pour l’amélioration du taux de pénétration de l’assurance, qui est de 1,7% en 2017 comparativement à la moyenne en Afrique subsaharien qui se situe à 4%.
Selon M. Coulibaly qui a ouvert la 2ème édition des journées nationales de l’assurance à Abidjan, les offres d’assurance ne touchent que 5% de la population, laissant le reste sans couverture.
« Ces données nous interpellent sur la nécessité de redoubler d’efforts et d’initiatives », a-t-il signifié. Il a interpellé les compagnies d’assurance sur le respect de leur engagement notamment sur le tarif minimum de l’assurance responsabilité civile des véhicules terrestres et à moteur.
Pour le directeur générale du Trésor et de la comptabilité publique, ce taux de pénétration est dû au manque de diligence observé de la part de certains assureurs face aux prestations des assurés et principalement celle des victimes d’accident de la circulation ou de leurs ayants droit, aux difficultés liées à l'interprétation et à l’exécution des contrats d’assurance, aux pesanteurs des procédures d’indemnisation, à l’insuffisance d’informations des populations, entre autres.
Il a encouragé les sociétés d’assurance à sensibiliser les usagers et aussi à participer à ces journées qui, durant deux jours réuniront sur une même plate forme les sociétés d’assurance, les usagers et l’autorité de régulation.
tad/ask
Selon M. Coulibaly qui a ouvert la 2ème édition des journées nationales de l’assurance à Abidjan, les offres d’assurance ne touchent que 5% de la population, laissant le reste sans couverture.
« Ces données nous interpellent sur la nécessité de redoubler d’efforts et d’initiatives », a-t-il signifié. Il a interpellé les compagnies d’assurance sur le respect de leur engagement notamment sur le tarif minimum de l’assurance responsabilité civile des véhicules terrestres et à moteur.
Pour le directeur générale du Trésor et de la comptabilité publique, ce taux de pénétration est dû au manque de diligence observé de la part de certains assureurs face aux prestations des assurés et principalement celle des victimes d’accident de la circulation ou de leurs ayants droit, aux difficultés liées à l'interprétation et à l’exécution des contrats d’assurance, aux pesanteurs des procédures d’indemnisation, à l’insuffisance d’informations des populations, entre autres.
Il a encouragé les sociétés d’assurance à sensibiliser les usagers et aussi à participer à ces journées qui, durant deux jours réuniront sur une même plate forme les sociétés d’assurance, les usagers et l’autorité de régulation.
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