Samedi 24 novembre à Abidjan, Marcel Amon-Tanoh, le ministre ivoirien des Affaires étrangères, annonçait que « la réforme de la CEI sera faite en 2020 », année de l’élection présidentielle et prochaine échéance électorale en Côte d’Ivoire. En cela rien de nouveau.
En effet, dans son discours à la Nation du 6 août 2018, le chef de l’État ivoirien, Alassane Ouattara déclarait ces mots : « Comme le recommande notamment la Cour Africaine des Droits de l’Homme et des Peuples, j’ai instruit le Gouvernement à l’effet de réexaminer la composition de la Commission Électorale Indépendante ». Au ministère des Affaires étrangères, Amon-Tanoh conforte les dits du président : « Le Président tient ses engagements ». La CEI est l’institution en charge de... suite de l'article sur Pôle Afrique
En effet, dans son discours à la Nation du 6 août 2018, le chef de l’État ivoirien, Alassane Ouattara déclarait ces mots : « Comme le recommande notamment la Cour Africaine des Droits de l’Homme et des Peuples, j’ai instruit le Gouvernement à l’effet de réexaminer la composition de la Commission Électorale Indépendante ». Au ministère des Affaires étrangères, Amon-Tanoh conforte les dits du président : « Le Président tient ses engagements ». La CEI est l’institution en charge de... suite de l'article sur Pôle Afrique