Abidjan- Le directeur de cabinet du ministre des Ressources animales et halieutiques, Dr Zoumana Méité Anlyou a souhaité mardi à Abidjan, qu’un accent particulier soit accordé au soutien à la pêche artisanale et au développement de l’aquaculture dans le protocole 2018-2024 de l’accord de partenariat dans le domaine de la pêche entre la Côte d’Ivoire et l’Union Européenne (UE).
Ce protocole relatif à la mise en œuvre de l’accord de partenariat dans le secteur de la pêche entre l’UE et la Côte d’Ivoire est entré en vigueur le 1er août 2018 pour une période de six ans.
« Pour ce qui concerne le protocole 2018-2024, nous proposons qu’un accent particulier soit accordé au soutien à la pêche artisanale et au développement de l’aquaculture, qui pour mon ministère, constituent des maillons importants de la lutte contre l’insécurité alimentaire, le chômage des jeunes et des femmes et la pauvreté des populations en milieu rural», a plaidé M. Meïté à l’ouverture de la première réunion de la commission mixte du protocole.
Selon lui, l’accord de partenariat de la pêche constitue pour la Côte d’Ivoire, une opportunité d’assistance technique et financière pour la mise en œuvre de son plan stratégique de développement de l’élevage, de la pêche et de l’aquaculture dont l’un des objectifs est la gestion durable des ressources halieutiques continentales et maritimes.
En contrepartie, cet accord offre à la flotte thonière européenne, un accès libre et profitable à la zone économique exclusive ivoirienne.
L’appui sectoriel dans le cadre de ce protocole s’articule autour des activités de pêche, l’amélioration des connaissances scientifiques sur les ressources, l’amélioration scientifique sur les ressources halieutiques, l’amélioration des statistiques halieutiques, le soutien à la pêche artisanale, le renforcement de la coopération internationale, le soutien à l’économie bleue et au développement de l’aquaculture.
Le directeur de cabinet a relevé que les travaux permettront de faire le bilan de la mise en œuvre du protocole 2013-2018 et la programmation pluriannuelle des actions à exécuter dans le cadre du protocole 2018-2024.
Il a invité les experts à faire des propositions pertinentes qui permettent aux autorités compétentes de mettre en place une véritable politique de la lutte contre la pêche non déclarée et non réglementée (INN) et d’espérer une participation plus importante des ressources halieutiques dans l’approvisionnement des états respectifs en protéines animales.
Au nom de l’UE, Mme Catherine Chapoux a réitéré la disponibilité de sa structure pour aider la Côte d’Ivoire à relever les défis dans le secteur de la pêche et l’aquaculture. Vingt-quatre participants soit six pour la partie européenne et 18 pour la partie ivoirienne prennent part à ces travaux qui prennent fin mercredi.
bsp/cmas
Ce protocole relatif à la mise en œuvre de l’accord de partenariat dans le secteur de la pêche entre l’UE et la Côte d’Ivoire est entré en vigueur le 1er août 2018 pour une période de six ans.
« Pour ce qui concerne le protocole 2018-2024, nous proposons qu’un accent particulier soit accordé au soutien à la pêche artisanale et au développement de l’aquaculture, qui pour mon ministère, constituent des maillons importants de la lutte contre l’insécurité alimentaire, le chômage des jeunes et des femmes et la pauvreté des populations en milieu rural», a plaidé M. Meïté à l’ouverture de la première réunion de la commission mixte du protocole.
Selon lui, l’accord de partenariat de la pêche constitue pour la Côte d’Ivoire, une opportunité d’assistance technique et financière pour la mise en œuvre de son plan stratégique de développement de l’élevage, de la pêche et de l’aquaculture dont l’un des objectifs est la gestion durable des ressources halieutiques continentales et maritimes.
En contrepartie, cet accord offre à la flotte thonière européenne, un accès libre et profitable à la zone économique exclusive ivoirienne.
L’appui sectoriel dans le cadre de ce protocole s’articule autour des activités de pêche, l’amélioration des connaissances scientifiques sur les ressources, l’amélioration scientifique sur les ressources halieutiques, l’amélioration des statistiques halieutiques, le soutien à la pêche artisanale, le renforcement de la coopération internationale, le soutien à l’économie bleue et au développement de l’aquaculture.
Le directeur de cabinet a relevé que les travaux permettront de faire le bilan de la mise en œuvre du protocole 2013-2018 et la programmation pluriannuelle des actions à exécuter dans le cadre du protocole 2018-2024.
Il a invité les experts à faire des propositions pertinentes qui permettent aux autorités compétentes de mettre en place une véritable politique de la lutte contre la pêche non déclarée et non réglementée (INN) et d’espérer une participation plus importante des ressources halieutiques dans l’approvisionnement des états respectifs en protéines animales.
Au nom de l’UE, Mme Catherine Chapoux a réitéré la disponibilité de sa structure pour aider la Côte d’Ivoire à relever les défis dans le secteur de la pêche et l’aquaculture. Vingt-quatre participants soit six pour la partie européenne et 18 pour la partie ivoirienne prennent part à ces travaux qui prennent fin mercredi.
bsp/cmas