Du 28 au 30 novembre 2018, Grand-Bassam accueille un atelier sur les politiques opérationnelles de sauvegardes environnementales et sociales de la Banque mondiale.
A l’ouverture de la rencontre ce mercredi, Abdoulaye Gadiéré, spécialiste des questions environnementales à la Banque mondiale a rappelé que les politiques de sauvegardes environnementales et sociales de la Banque mondiale visent à faire en sorte qu’on puisse atteindre les objectifs de développement durable des projets qui est le bien-être des populations sans impacter les composantes de l’environnement afin d’atteindre les objectifs de développement des projets tout en minimisant leur impact négatif sur l’environnement.
Son institution a pour ambition, selon ses dires de concilier le développement durable et la protection de l’environnement des populations qui en sont bénéficiaires des projets.
« La Banque mondiale a mis en place un nouveau cadre environnemental et social qui vise à mieux protéger l’environnement et les communautés contre les risques divers » a-t-il annoncé.
Le représentant du ministre Joseph Séka Séka, Zah bi Guillaume a souhaité qu’au terme de ce renforcement de capacités, les bénéficiaires puissent être capables de comprendre « la catégorisation » des politiques environnementales.
L’atelier vise notamment à renforcer les capacités des points focaux des structures membres de la commission interministérielle d’évaluation des études environnementales et sociales sur les politiques de sauvegardes environnementales et sociales de la Banque mondiale.
67 personnes issues de l’Agence nationale de l’environnement (ANDE), du mécanisme international de réduction des émissions de gaz à effet de serre issues de la déforestation et de la dégradation des forêts ( REDD+), des structures et des ministères de tutelle prennent part à ce séminaire qui s’achèvera vendredi.
Atapointe
A l’ouverture de la rencontre ce mercredi, Abdoulaye Gadiéré, spécialiste des questions environnementales à la Banque mondiale a rappelé que les politiques de sauvegardes environnementales et sociales de la Banque mondiale visent à faire en sorte qu’on puisse atteindre les objectifs de développement durable des projets qui est le bien-être des populations sans impacter les composantes de l’environnement afin d’atteindre les objectifs de développement des projets tout en minimisant leur impact négatif sur l’environnement.
Son institution a pour ambition, selon ses dires de concilier le développement durable et la protection de l’environnement des populations qui en sont bénéficiaires des projets.
« La Banque mondiale a mis en place un nouveau cadre environnemental et social qui vise à mieux protéger l’environnement et les communautés contre les risques divers » a-t-il annoncé.
Le représentant du ministre Joseph Séka Séka, Zah bi Guillaume a souhaité qu’au terme de ce renforcement de capacités, les bénéficiaires puissent être capables de comprendre « la catégorisation » des politiques environnementales.
L’atelier vise notamment à renforcer les capacités des points focaux des structures membres de la commission interministérielle d’évaluation des études environnementales et sociales sur les politiques de sauvegardes environnementales et sociales de la Banque mondiale.
67 personnes issues de l’Agence nationale de l’environnement (ANDE), du mécanisme international de réduction des émissions de gaz à effet de serre issues de la déforestation et de la dégradation des forêts ( REDD+), des structures et des ministères de tutelle prennent part à ce séminaire qui s’achèvera vendredi.
Atapointe