L’Organisation Internationale du Sucre (OIS) a tenu, à Londres, au Royaume-Uni, la 54ème session du Conseil International du Sucre et ses organes subsidiaires, du 27 au 30 Novembre 2018. Cette réunion du Conseil était présidée par la vice-présidente, Madame Nicola Hinder (Australie), en l’absence du Président en exercice, Son Excellence Monsieur Endaweke Abite Degefu, Directeur Général de l’Ethiopian Sugar Corporation.
L’OIS est un organisme intergouvernemental, créé en 1968, pour administrer les différends Accords Internationaux sur le Sucre, dont le dernier en date est l’Accord International de 1992. Son rôle est de promouvoir le commerce et la consommation du sucre, suivre l’évolution du marché sucrier mondial et encadrer les politiques sucrières nationales.
Basée à Londres, l’Organisation Internationale du Sucre compte 87 Etats-Membres qui représentent 87% de la production mondiale de sucre, 68% de la consommation mondiale de sucre, 90% des exportations mondiales et 40% des importations mondiales.
La Côte d’Ivoire participe de façon active aux réunions de l’OIS, dont elle est membre depuis le 23 mars 1993. C’est ainsi qu’elle siège au sein du Comité Administratif de cette Organisation depuis 2016, à travers la personne de S.E.M Aly Touré, Représentant Permanent de la Côte d’Ivoire auprès des Organisations Internationales de Produits de Base à Londres. Le Comité Administratif est l’organe consultatif du Conseil, organe suprême, lui faisant des recommandations sur les questions financières et administratives de l’OIS.
La 54ème session du Conseil s’est penché, en particulier, sur la question importante de la révision ou non de l’Accord International sur le Sucre de 1992, sans parvenir à une décision consensuelle. Elle a, par ailleurs, élu respectivement, Madame Hinder et S.E.M. Aly Touré, en qualité de Présidente et Vice-président du Conseil International du Sucre pour l’année 2018/19.
Cette session a été précédée par la 27ème édition du Séminaire International du Sucre dont le thème « Réforme du secteur sucrier : Menace ou Défi ? », a attiré plus de 400 participants venus de 60 pays à travers le monde.
La Côte d’Ivoire, qui vise l’augmentation de sa production en sucre pour être autosuffisant, continuera de prendre une part active à ces assises afin de tirer parti des expériences réussies de développement durable du secteur sucrier des autres Pays-membres, ainsi que des opportunités de coopération offertes et facilitées par l’Organisation Internationale du Sucre.
Une correspondance particulière
L’OIS est un organisme intergouvernemental, créé en 1968, pour administrer les différends Accords Internationaux sur le Sucre, dont le dernier en date est l’Accord International de 1992. Son rôle est de promouvoir le commerce et la consommation du sucre, suivre l’évolution du marché sucrier mondial et encadrer les politiques sucrières nationales.
Basée à Londres, l’Organisation Internationale du Sucre compte 87 Etats-Membres qui représentent 87% de la production mondiale de sucre, 68% de la consommation mondiale de sucre, 90% des exportations mondiales et 40% des importations mondiales.
La Côte d’Ivoire participe de façon active aux réunions de l’OIS, dont elle est membre depuis le 23 mars 1993. C’est ainsi qu’elle siège au sein du Comité Administratif de cette Organisation depuis 2016, à travers la personne de S.E.M Aly Touré, Représentant Permanent de la Côte d’Ivoire auprès des Organisations Internationales de Produits de Base à Londres. Le Comité Administratif est l’organe consultatif du Conseil, organe suprême, lui faisant des recommandations sur les questions financières et administratives de l’OIS.
La 54ème session du Conseil s’est penché, en particulier, sur la question importante de la révision ou non de l’Accord International sur le Sucre de 1992, sans parvenir à une décision consensuelle. Elle a, par ailleurs, élu respectivement, Madame Hinder et S.E.M. Aly Touré, en qualité de Présidente et Vice-président du Conseil International du Sucre pour l’année 2018/19.
Cette session a été précédée par la 27ème édition du Séminaire International du Sucre dont le thème « Réforme du secteur sucrier : Menace ou Défi ? », a attiré plus de 400 participants venus de 60 pays à travers le monde.
La Côte d’Ivoire, qui vise l’augmentation de sa production en sucre pour être autosuffisant, continuera de prendre une part active à ces assises afin de tirer parti des expériences réussies de développement durable du secteur sucrier des autres Pays-membres, ainsi que des opportunités de coopération offertes et facilitées par l’Organisation Internationale du Sucre.
Une correspondance particulière