Kigali, (Rwanda) – Le rapport 2018 sur les Objectifs de développement durable (ODD) invite les Etats africains à donner la priorité aux investissements dans l’eau et l'assainissement pour améliorer les résultats pour la santé et tirer parti de la capacité de production de la population.
Ce rapport annuel intitulé « Vers un continent transformé et résilient » a été publié, mardi, à l’occasion de l’édition 2018 de la conférence économique africaine à Kigali, conjointement par le Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD), la Commission économique des Nations Unies pour l’Afrique (CEA), la Commission de l’Union africaine et la Banque africaine de développement (BAD).
Selon ce rapport, un lent progrès a été enregistré dans la réduction de la pauvreté et des inégalités. La pauvreté extrême (1,90 USD / jour) n'a diminué que de 15% au cours de la période 1990-2013, à environ 41%. L'insécurité alimentaire grave en Afrique est passée de 25,3% à 26,1% en 2014-2016.
Il recommande donc l’améliorer de l'accès des populations rurale à l’énergie moderne pour adresser les disparités rural-urbain. Il recommande aussi de renforcer les capacités et d’intégrer l'urbanisme au plan national de développement.
Le rapport suggère d’investir dans les technologies et infrastructures qui réduisent les pertes après récolte. Et de soutenir des marchés financiers ruraux inclusifs et réduire la contamination des aliments afin de mettre en œuvre la Déclaration de Malabo (2014) visant la réduction de moitié, le gaspillage alimentaire d'ici 2025.
Le document invite à rassembler les acteurs pour des actions de conservation et de préserver l'écosystème à savoir dirigeants politiques, acteurs non étatiques, privés et locaux les communautés.
Ce rapport examine les progrès de l’Afrique dans la mise en œuvre de l'Agenda 2030 aux côtés de l'Agenda 2063.
kkf/ask
Ce rapport annuel intitulé « Vers un continent transformé et résilient » a été publié, mardi, à l’occasion de l’édition 2018 de la conférence économique africaine à Kigali, conjointement par le Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD), la Commission économique des Nations Unies pour l’Afrique (CEA), la Commission de l’Union africaine et la Banque africaine de développement (BAD).
Selon ce rapport, un lent progrès a été enregistré dans la réduction de la pauvreté et des inégalités. La pauvreté extrême (1,90 USD / jour) n'a diminué que de 15% au cours de la période 1990-2013, à environ 41%. L'insécurité alimentaire grave en Afrique est passée de 25,3% à 26,1% en 2014-2016.
Il recommande donc l’améliorer de l'accès des populations rurale à l’énergie moderne pour adresser les disparités rural-urbain. Il recommande aussi de renforcer les capacités et d’intégrer l'urbanisme au plan national de développement.
Le rapport suggère d’investir dans les technologies et infrastructures qui réduisent les pertes après récolte. Et de soutenir des marchés financiers ruraux inclusifs et réduire la contamination des aliments afin de mettre en œuvre la Déclaration de Malabo (2014) visant la réduction de moitié, le gaspillage alimentaire d'ici 2025.
Le document invite à rassembler les acteurs pour des actions de conservation et de préserver l'écosystème à savoir dirigeants politiques, acteurs non étatiques, privés et locaux les communautés.
Ce rapport examine les progrès de l’Afrique dans la mise en œuvre de l'Agenda 2030 aux côtés de l'Agenda 2063.
kkf/ask