Aboisso-Des commerçantes du grand marché d’Ayamé ont déploré, au cours d’un entretien, mardi, à l’AIP, le refus de certaines d'entre elles de rejoindre le grand marché de la commune.
Une commerçante, Mme N’zébo Jeanne, celles d’entre elles qui refusent de rejoindre le grand marché ont créé des espaces marchands parallèles dans les quartiers, empêchant les clients de se rendre au grand marché pour leurs emplettes.
En dehors du vendredi jour de marché, le marché reste vide, souligne-t-elle. Les clients préfèrent faire leurs achats dans les quartiers auprès des femmes ayant installé des étales.
« Si nous tous on se rassemble ici, on gagnera puisque tous les clients viendront au grand marché », propose dame N’zebo.
Ces femmes pointent du doigt la mairie qui ne prendrait pas de mesures vigoureuses pour ramener ces commerçantes à la raison.
Le deuxième adjoint au maire de la commune, N’douba Léon, explique la réticence des femmes à s’installer dans le grand marché.
Selon lui, l’éloignement du marché du centre ville pourrait être la cause principale de la situation. Il aurait souhaité que le marché soit construit sur le site actuel de l’hôtel de ville, au centre ville.
Cette situation ne manque pas d’affecter les recettes de la mairie qui s’en sort avec moins de 20 000 FCFA au quotidien relativement aux taxes sur les marchés, aux dires du deuxième adjoint au maire.
M.N’douba propose que des lotissements soit faits aux environs du grand marché afin que le quartier qui l’abrite soit habité. En attendant, il encourage les femmes à rejoindre l’actuel marché.
Des clientes rencontrées dans le marché à l’instar de Mlle Niamkey Yvonne et de dame Koné Awa préfèrent faire leurs achats au grand marché malgré la distance, car le grand marché est plus approvisionné que tous les autres. Elles souhaitent d’ailleurs que toutes les commerçantes rejoignent ce marché pour le bonheur des clients.
Le grand marché d’Ayamé situé à la sortie de la ville sur l’axe Ayamé-Yaou a été ouvert en 2001, a-t-on appris. Son occupation entière reste cependant problématique. Des étales et des magasins attendant encore d’éventuels occupants.
akn/ask
Une commerçante, Mme N’zébo Jeanne, celles d’entre elles qui refusent de rejoindre le grand marché ont créé des espaces marchands parallèles dans les quartiers, empêchant les clients de se rendre au grand marché pour leurs emplettes.
En dehors du vendredi jour de marché, le marché reste vide, souligne-t-elle. Les clients préfèrent faire leurs achats dans les quartiers auprès des femmes ayant installé des étales.
« Si nous tous on se rassemble ici, on gagnera puisque tous les clients viendront au grand marché », propose dame N’zebo.
Ces femmes pointent du doigt la mairie qui ne prendrait pas de mesures vigoureuses pour ramener ces commerçantes à la raison.
Le deuxième adjoint au maire de la commune, N’douba Léon, explique la réticence des femmes à s’installer dans le grand marché.
Selon lui, l’éloignement du marché du centre ville pourrait être la cause principale de la situation. Il aurait souhaité que le marché soit construit sur le site actuel de l’hôtel de ville, au centre ville.
Cette situation ne manque pas d’affecter les recettes de la mairie qui s’en sort avec moins de 20 000 FCFA au quotidien relativement aux taxes sur les marchés, aux dires du deuxième adjoint au maire.
M.N’douba propose que des lotissements soit faits aux environs du grand marché afin que le quartier qui l’abrite soit habité. En attendant, il encourage les femmes à rejoindre l’actuel marché.
Des clientes rencontrées dans le marché à l’instar de Mlle Niamkey Yvonne et de dame Koné Awa préfèrent faire leurs achats au grand marché malgré la distance, car le grand marché est plus approvisionné que tous les autres. Elles souhaitent d’ailleurs que toutes les commerçantes rejoignent ce marché pour le bonheur des clients.
Le grand marché d’Ayamé situé à la sortie de la ville sur l’axe Ayamé-Yaou a été ouvert en 2001, a-t-on appris. Son occupation entière reste cependant problématique. Des étales et des magasins attendant encore d’éventuels occupants.
akn/ask