Agboville- Les agents de la Radio la Voix de l’Agneby (RVA), membres du syndicat national des professionnels de la presse de Côte d’Ivoire (SYNAPPCI), veulent entrer en grève du 10 au 17 décembre 2018, pour exiger de la municipalité, leur employeur, une amélioration de leurs conditions de vie et de travail.
Pour ce faire, ils ont déposé le 03 décembre 2018 un préavis de grève sur le bureau du maire N’cho Acho Albert avec ampliations à l’inspection de Travail, à la préfecture et à la direction de la RVA.
Le contenu de ce préavis de grève expliqué mardi dans un point de presse par le secrétaire de section du SYNAPPCI d’Agboville, Abou Tapili, fait état de deux points essentiels : le mauvais traitement salarial, largement en dessous du SMIG et le non paiement des cotisations au niveau de la CNPS des agents pourtant déclarés.
Selon Abou Tapili, la situation est aujourd’hui intenable pour ces agents dont certains ont vingt (20) ans d’ancienneté, c’est-à dire qu’ils sont là depuis l’ouverture de cette radio de proximité, mais ne touchent que 30.000f CFA par mois.
D’où leur appel au maire et aux autorités compétentes à agir afin qu’un statut viable leur soit accordé et leur permette de vivre décemment de leur profession.
Pour sa part, le directeur général de la RVA, Anicet N’tamon a indiqué avoir pris acte de la volonté de ses agents d’aller en grève compte tenu des difficultés énormes auxquelles ils sont confrontés dans l’exercice de leur métier.
yy/ask
Pour ce faire, ils ont déposé le 03 décembre 2018 un préavis de grève sur le bureau du maire N’cho Acho Albert avec ampliations à l’inspection de Travail, à la préfecture et à la direction de la RVA.
Le contenu de ce préavis de grève expliqué mardi dans un point de presse par le secrétaire de section du SYNAPPCI d’Agboville, Abou Tapili, fait état de deux points essentiels : le mauvais traitement salarial, largement en dessous du SMIG et le non paiement des cotisations au niveau de la CNPS des agents pourtant déclarés.
Selon Abou Tapili, la situation est aujourd’hui intenable pour ces agents dont certains ont vingt (20) ans d’ancienneté, c’est-à dire qu’ils sont là depuis l’ouverture de cette radio de proximité, mais ne touchent que 30.000f CFA par mois.
D’où leur appel au maire et aux autorités compétentes à agir afin qu’un statut viable leur soit accordé et leur permette de vivre décemment de leur profession.
Pour sa part, le directeur général de la RVA, Anicet N’tamon a indiqué avoir pris acte de la volonté de ses agents d’aller en grève compte tenu des difficultés énormes auxquelles ils sont confrontés dans l’exercice de leur métier.
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