Korhogo– Les secrétaires généraux du parti démocratique de Côte d’Ivoire (Pdci) des régions du grand nord souhaitent rencontrer le président de leur parti, Henri Konan Bédié, à en croire celui en charge de la commune de Korhogo, M. Soumahoro Mamadou.
« Nous les secrétaires généraux du Pdci du grand nord voudrions rencontrer le président Henri Konan Bédié », a plaidé M. Mamadou, au cours d’une rencontre entre les militants et une délégation du parti, conduite par le sénateur Alain Cocauthrey, mercredi à Korhogo.
Il a rappelé à la délégation de la direction de son parti que ce souhait les habite depuis plus d’une dizaine d’années, et que ses camarades et lui ont un « sérieux » besoin de promotion sociale que seul le président du parti peu satisfaire.
Les promotions sociales sont nécessaires pour permettre aux responsables locaux du parti d’avoir des moyens (financiers, ndlr) et contribuer à l’animation du parti à la base, a-t-il expliqué.
« Quand on dit que le Pdci est mort est dans le nord, moi je dis c’est faux », s’est-il insurgé, justifiant l’absence d’activités politiques au sein des délégations locales du parti par un manque de moyens de ses principaux animateurs.
kaem/ask
« Nous les secrétaires généraux du Pdci du grand nord voudrions rencontrer le président Henri Konan Bédié », a plaidé M. Mamadou, au cours d’une rencontre entre les militants et une délégation du parti, conduite par le sénateur Alain Cocauthrey, mercredi à Korhogo.
Il a rappelé à la délégation de la direction de son parti que ce souhait les habite depuis plus d’une dizaine d’années, et que ses camarades et lui ont un « sérieux » besoin de promotion sociale que seul le président du parti peu satisfaire.
Les promotions sociales sont nécessaires pour permettre aux responsables locaux du parti d’avoir des moyens (financiers, ndlr) et contribuer à l’animation du parti à la base, a-t-il expliqué.
« Quand on dit que le Pdci est mort est dans le nord, moi je dis c’est faux », s’est-il insurgé, justifiant l’absence d’activités politiques au sein des délégations locales du parti par un manque de moyens de ses principaux animateurs.
kaem/ask