Abidjan - L’opération évaluation nationale des risques (ENR) en matière de lutte contre le blanchiment d’argent et le financement de capitaux (LBC/FT) a été lancée, vendredi par le ministre de l’Intérieur et de la Sécurité, Sidiki Diakité, lors d’une cérémonie à l’Ecole nationale d’administration (ENA), à Cocody.
L’opération évaluation nationale des risques permettra à la Côte d’Ivoire de disposer à terme d’une cartographie complète des risques en matière de blanchiment de capitaux et de financement du terrorisme, d’identifier les menaces, de connaître ses vulnérabilités, afin de comprendre les risques auxquels elle est exposée et y apporter des mesures correctives, a expliqué M. Diakité.
«Elle permettra également à notre pays de mieux rationaliser les ressources affectées à la lutte contre la criminalité et le terrorisme (…) Les attentes sont nombreuses », a-t-il ajouté.
Cette première évaluation est réalisée en vue de la préparation de la 2ème évaluation mutuelle du dispositif de lutte contre le blanchiment de capitaux et le financement du terrorisme de la Côte d’Ivoire prévue pour février 2021. Cet exercice donne une occasion de découvrir les faiblesses de l’Etat, de les corriger avant l’évaluation mutuelle, a expliqué le coordonnateur de l’ENR, Olivier Kouakou.
Evaluée à 250 millions FCFA, l’ENR est réalisée en collaboration avec le groupe international d’action contre le blanchiment d’argent (GIABA) et la Banque mondiale. Elle va mobiliser environ 170 personnes dont des experts de la Banque mondiale sur une période de 12 mois.
tad/ask
L’opération évaluation nationale des risques permettra à la Côte d’Ivoire de disposer à terme d’une cartographie complète des risques en matière de blanchiment de capitaux et de financement du terrorisme, d’identifier les menaces, de connaître ses vulnérabilités, afin de comprendre les risques auxquels elle est exposée et y apporter des mesures correctives, a expliqué M. Diakité.
«Elle permettra également à notre pays de mieux rationaliser les ressources affectées à la lutte contre la criminalité et le terrorisme (…) Les attentes sont nombreuses », a-t-il ajouté.
Cette première évaluation est réalisée en vue de la préparation de la 2ème évaluation mutuelle du dispositif de lutte contre le blanchiment de capitaux et le financement du terrorisme de la Côte d’Ivoire prévue pour février 2021. Cet exercice donne une occasion de découvrir les faiblesses de l’Etat, de les corriger avant l’évaluation mutuelle, a expliqué le coordonnateur de l’ENR, Olivier Kouakou.
Evaluée à 250 millions FCFA, l’ENR est réalisée en collaboration avec le groupe international d’action contre le blanchiment d’argent (GIABA) et la Banque mondiale. Elle va mobiliser environ 170 personnes dont des experts de la Banque mondiale sur une période de 12 mois.
tad/ask