Bouaké- Un nouveau comité de gestion du collège d‘enseignement technique de Bouaké a été installé, vendredi, dans le cadre d’un projet de nouvelle gouvernance des établissements d’enseignement professionnel.
Composé de 12 membres dont six du secteur public et six du privé productif et des chambres consulaires, ce comité est présidé par le directeur régional de l’enseignement professionnel initial, N’Koumo Julien. Lui et ses collaborateurs ont reçu des mains du secrétaire général de préfecture, Mme Loboué Née Michelle Hortense Amani, leur feuille de mission et leur acte de nomination.
Ils auront pour mission notamment de donner les grandes orientations de la politique de l’établissement, de contribuer à mobiliser des ressources additionnelles pour assurer la maintenance et le renouvellement des équipements, valider et approuver les projets de convention de partenariat avec les autres structure et évaluer le travail du comité de direction de l’établissement.
Le directeur de la formation professionnelle initiale, Fofié Koffi, a indiqué que ce nouvel organe encadrera le comité de direction, donnera une autonomie à l’établissement et assurera une flexibilité pour lui permettra de faire une offre diversifiée de formation et de service tout en assurant la traçabilité des ressources qui seront mobilisées.
La nouvelle gouvernance des établissements d’enseignement professionnel est caractérisée par une autonomie de gestion qui se fera en partenariat avec le secteur privé et les collectivités territoriales. Elle est basée sur un comité de gestion et un comité de direction. La phase pilote du projet concerne huit établissements d’enseignement professionnels du pays.
Eu égard aux défis à relever, le secrétaire général de préfecture, Mme Loboué Née Michelle Hortense Amani, a conseillé aux membres du comité de gestion du CET d’être «de véritables manageurs, d’adopter des pratiques de bonne gouvernance et d’être loin des débats politiques», pour la réussite de cette phase d’expérimentation qui conditionne la pérennisation du projet.
«Ce n’est pas une affaire du DR que je suis ni une affaire du directeur du CET et ses collaborateurs mais une affaire de chaque acteur que nous sommes. Il faut un engagement de tous. Et nous devons réussir dans cette phase d’expérimentation», a indiqué, pour sa part, le président du comité de gestion du CET, N’Koumo Julien.
nbf/kam
Composé de 12 membres dont six du secteur public et six du privé productif et des chambres consulaires, ce comité est présidé par le directeur régional de l’enseignement professionnel initial, N’Koumo Julien. Lui et ses collaborateurs ont reçu des mains du secrétaire général de préfecture, Mme Loboué Née Michelle Hortense Amani, leur feuille de mission et leur acte de nomination.
Ils auront pour mission notamment de donner les grandes orientations de la politique de l’établissement, de contribuer à mobiliser des ressources additionnelles pour assurer la maintenance et le renouvellement des équipements, valider et approuver les projets de convention de partenariat avec les autres structure et évaluer le travail du comité de direction de l’établissement.
Le directeur de la formation professionnelle initiale, Fofié Koffi, a indiqué que ce nouvel organe encadrera le comité de direction, donnera une autonomie à l’établissement et assurera une flexibilité pour lui permettra de faire une offre diversifiée de formation et de service tout en assurant la traçabilité des ressources qui seront mobilisées.
La nouvelle gouvernance des établissements d’enseignement professionnel est caractérisée par une autonomie de gestion qui se fera en partenariat avec le secteur privé et les collectivités territoriales. Elle est basée sur un comité de gestion et un comité de direction. La phase pilote du projet concerne huit établissements d’enseignement professionnels du pays.
Eu égard aux défis à relever, le secrétaire général de préfecture, Mme Loboué Née Michelle Hortense Amani, a conseillé aux membres du comité de gestion du CET d’être «de véritables manageurs, d’adopter des pratiques de bonne gouvernance et d’être loin des débats politiques», pour la réussite de cette phase d’expérimentation qui conditionne la pérennisation du projet.
«Ce n’est pas une affaire du DR que je suis ni une affaire du directeur du CET et ses collaborateurs mais une affaire de chaque acteur que nous sommes. Il faut un engagement de tous. Et nous devons réussir dans cette phase d’expérimentation», a indiqué, pour sa part, le président du comité de gestion du CET, N’Koumo Julien.
nbf/kam