Séguéla– Les délégués des élèves des établissements secondaires de la ville de Séguéla se sont engagés à suivre les cours dispensés par les professeurs jusqu’au 21 décembre, date officielle du départ en congés de noël et du Nouvel an, a relevé l’AIP lors d’une rencontre organisée à la rotonde de la radio locale par le directeur régional de l’Education nationale, de l’Enseignement technique et de la Formation professionnelle (DRENETFP), M’Bassidjé Augoud Roger.
« Nous qui sommes ici, nous voulons aller à l’école », a déclaré, mercredi, Mlle Bakayoko Salimata, l’une des représentantes du lycée moderne Dominique Ouattara, arguant que ceux qui distillent des SMS incitant à l’arrêt des cours sont d’anciens élèves qui ont été renvoyés et qui souhaiteraient que d’autres apprenants soient dans la même situation qu’eux.
Depuis quelques jours, des SMS circulent dans le milieu des élèves pour les encourager à se mettre en congé avant le 21 décembre, note-t-on.
« Nous sommes l’avenir de ce pays. Et si nous faisons ce genre de choses, ce n’est pas sûr qu’on pourra avancer. Donc, chers parents, nous avons perdu assez de temps. Agissez maintenant », a, pour sa part, exhorté la porte-parole du lycée moderne des Jeunes filles, Dingui Marie Gisèle, avant que d’autres condisciples n’interviennent pour réclamer des ‘’sanctions exemplaires’’ à l’encontre d’éventuels fauteurs de troubles.
« Aux grands maux, les grandes solutions. Cette année, celui qui va lancer des cailloux ou pousser ses camarades à sortir des classes, si on le prend, il sera renvoyé », a prévenu le directeur régional qui souhaite que les élèves ne se laissent pas entraîner par les trublions.
Depuis bientôt deux semaines, dans la direction régionale de l’Education nationale de Séguéla, les guides religieux, chefs traditionnels et autres enseignants sont mis à contribution pour que le calendrier scolaire soit respecté cette année, après les actes de vandalisme perpétrés l’an dernier.
kkp/ask
« Nous qui sommes ici, nous voulons aller à l’école », a déclaré, mercredi, Mlle Bakayoko Salimata, l’une des représentantes du lycée moderne Dominique Ouattara, arguant que ceux qui distillent des SMS incitant à l’arrêt des cours sont d’anciens élèves qui ont été renvoyés et qui souhaiteraient que d’autres apprenants soient dans la même situation qu’eux.
Depuis quelques jours, des SMS circulent dans le milieu des élèves pour les encourager à se mettre en congé avant le 21 décembre, note-t-on.
« Nous sommes l’avenir de ce pays. Et si nous faisons ce genre de choses, ce n’est pas sûr qu’on pourra avancer. Donc, chers parents, nous avons perdu assez de temps. Agissez maintenant », a, pour sa part, exhorté la porte-parole du lycée moderne des Jeunes filles, Dingui Marie Gisèle, avant que d’autres condisciples n’interviennent pour réclamer des ‘’sanctions exemplaires’’ à l’encontre d’éventuels fauteurs de troubles.
« Aux grands maux, les grandes solutions. Cette année, celui qui va lancer des cailloux ou pousser ses camarades à sortir des classes, si on le prend, il sera renvoyé », a prévenu le directeur régional qui souhaite que les élèves ne se laissent pas entraîner par les trublions.
Depuis bientôt deux semaines, dans la direction régionale de l’Education nationale de Séguéla, les guides religieux, chefs traditionnels et autres enseignants sont mis à contribution pour que le calendrier scolaire soit respecté cette année, après les actes de vandalisme perpétrés l’an dernier.
kkp/ask
