Soubré- Au total, 10 saigneurs et 19 contrôleurs ont achevé, mercredi, la première phase d’une formation initiée par l’Association des professionnels manufacturés du caoutchouc naturel de Côte d’Ivoire (APROMAC).
La formation qui a eu lieu du 26 novembre au 12 décembre à Yacolidabouo (30 km de Soubré), chef-lieu de département a permis aux 19 techniciens de développement d'hévéas des 19 zones de production et 10 planteurs villageois de se former sur la fonction de contrôleur de la saignée et saigneurs d’hévéa.
Chargée des opérations agricoles au Fonds de développement de l’hévéa (FDH), Boko Chantal a indiqué que ce renforcement de capacité vise à enseigner aux producteurs les bonnes pratiques de la saignée afin de faire face au risque de disparition de la forêt d’hévéa dans la localité de Yacolidabouo.
« Au lieu que les plantations survivent pendant 40 ans quand la saignée est bonne, nous constatons qu’elles ne sont plus productives après cinq ans simplement parce qu'on fait mal la saignée. Nos agents ont pour mission d'accompagner les saigneurs dans leur tache », a justifié Mme Boko, ajoutant que la mauvaise qualité des saigneurs entraîne la baise de production voire l’arrêt du rendement.
km/bsb/cmas
La formation qui a eu lieu du 26 novembre au 12 décembre à Yacolidabouo (30 km de Soubré), chef-lieu de département a permis aux 19 techniciens de développement d'hévéas des 19 zones de production et 10 planteurs villageois de se former sur la fonction de contrôleur de la saignée et saigneurs d’hévéa.
Chargée des opérations agricoles au Fonds de développement de l’hévéa (FDH), Boko Chantal a indiqué que ce renforcement de capacité vise à enseigner aux producteurs les bonnes pratiques de la saignée afin de faire face au risque de disparition de la forêt d’hévéa dans la localité de Yacolidabouo.
« Au lieu que les plantations survivent pendant 40 ans quand la saignée est bonne, nous constatons qu’elles ne sont plus productives après cinq ans simplement parce qu'on fait mal la saignée. Nos agents ont pour mission d'accompagner les saigneurs dans leur tache », a justifié Mme Boko, ajoutant que la mauvaise qualité des saigneurs entraîne la baise de production voire l’arrêt du rendement.
km/bsb/cmas