Bondoukou– Le surveillant général du Centre hospitalier régional (CHR) de Bondoukou, Sié Todipté, a révélé que près de 500 personnes dont 75% constitués de jeunes de moins de 21 ans ont perdu la vie dans les accidents sur la voie publique en 2018, dans le département de Bondoukou (Nord-est).
Lors de l’ouverture d’un atelier de sensibilisation des populations sur la réduction du taux d’accident sur les voies publiques dans le Gontougo, mercredi, à Bondoukou, Sié Todipté a fait savoir que le département a enregistré 1 834 cas d’accident en octobre 2018, par rapport à l’année 2017 qui était de 1 887 cas pour 400 morts.
Selon le surveillant général, parmi les accidentés, l’on note 132 cas d’enfants d'un à neuf ans et 150 cas d’adolescents de 15 à 17 ans. Il a regretté ce nombre croissant d’accidentés dont la prise en charge devient de plus en plus difficile.
« Nous vous invitons à éviter ces accidents surtout à Bondoukou en passant le permis de conduire dans une autoécole », a-t-il lancé à la jeunesse présente à cet atelier sur la sécurité routière.
Ce séminaire qui se tient du mercredi au vendredi est organisé par l’Union de la jeunesse communale de Bondoukou (UJCB), sous le patronage du secrétaire d’Etat chargé du Civisme, Siaka Ouattara.
Le préfet de région et du département de Bondoukou, Aka Kouassi Bio avait entrepris vendredi et dimanche dans les mosquées et églises protestantes une tournée en vue de sensibiliser la population sur les risques d’accidents de la circulation pendant les périodes de fête.
Cette tournée s’inscrivait dans le cadre d’une campagne dénommée « opération fête de fin d’année, zéro accident » et visait à inviter la population, notamment les jeunes automobilistes et propriétaires d’engins à deux ou trois roues à la prudence afin d’éviter les accidents en cette fin d’année.
zaar/tm
Lors de l’ouverture d’un atelier de sensibilisation des populations sur la réduction du taux d’accident sur les voies publiques dans le Gontougo, mercredi, à Bondoukou, Sié Todipté a fait savoir que le département a enregistré 1 834 cas d’accident en octobre 2018, par rapport à l’année 2017 qui était de 1 887 cas pour 400 morts.
Selon le surveillant général, parmi les accidentés, l’on note 132 cas d’enfants d'un à neuf ans et 150 cas d’adolescents de 15 à 17 ans. Il a regretté ce nombre croissant d’accidentés dont la prise en charge devient de plus en plus difficile.
« Nous vous invitons à éviter ces accidents surtout à Bondoukou en passant le permis de conduire dans une autoécole », a-t-il lancé à la jeunesse présente à cet atelier sur la sécurité routière.
Ce séminaire qui se tient du mercredi au vendredi est organisé par l’Union de la jeunesse communale de Bondoukou (UJCB), sous le patronage du secrétaire d’Etat chargé du Civisme, Siaka Ouattara.
Le préfet de région et du département de Bondoukou, Aka Kouassi Bio avait entrepris vendredi et dimanche dans les mosquées et églises protestantes une tournée en vue de sensibiliser la population sur les risques d’accidents de la circulation pendant les périodes de fête.
Cette tournée s’inscrivait dans le cadre d’une campagne dénommée « opération fête de fin d’année, zéro accident » et visait à inviter la population, notamment les jeunes automobilistes et propriétaires d’engins à deux ou trois roues à la prudence afin d’éviter les accidents en cette fin d’année.
zaar/tm