Pdci renaissance, un mouvement politique ivoirien, qui refuse la rupture entre le Parti démocratique de Côte d’Ivoire (Pdci, ex-allié au pouvoir), et les personnes morales ou physiques qui partagent les valeurs de l’houphouetisme, a été lancé dimanche dans un hôtel à Abidjan.
« Nous sommes et demeurons Pdci, nous refusons tout aussi fermement la rupture entre le Pdci et les autres membres de la grande famille des houphouetistes », a dit le vice-président ivoirien Daniel Kablan Duncan, disant « non à la rupture », devant des milliers de partisans.
Sur des t-shirts arborés par des partisans venus de divers horizons du pays, l’on pouvait lire « Je suis Pdci, je dis non à la rupture ». Selon M. Duncan, « il est primordial de revenir au fondement même » du Pdci qui a permis de bâtir la Côte d’Ivoire et sa prospérité.
Pdci Renaissance dit « non à la rupture mais oui au dialogue » pour une « retrouvaille entre les enfants de Félix Houphouët-Boigny », a-t-il expliqué, soutenant que le développement du pays sera « mieux assuré toutes les fois que les Ivoiriens revêtent et conservent l’houphouëtisme au centre des préoccupations politiques, économiques et sociales ».
Ce mouvement se veut « un creuset pour l’unité et le rassemblement de toutes celles et de tous ceux qui se réclament de la philosophie fédératrice du père fondateur, Félix Houphouët-Boigny », afin d’impulser davantage le développement de la Côte d’Ivoire, a-t-il poursuivi.
Pour lui, « la place du Pdci doit être et devra toujours être avec les héritiers d’Houphouët-Boigny ». C’est pourquoi il faut « une réorganisation claire de la gouvernance du Pdci », qui envisage de créer une plateforme avec d’autres formations dont le parti de l’ex-président Laurent Gbagbo.
« Il est légitime pour le Pdci de vouloir s’associer à d’autres groupements politiques pour affronter les défis de développement de la Côte d’Ivoire, mais ne croyons pas que nous pouvons le faire à travers des plateformes politiques autres, sans au préalable d’alliance politique naturelle des enfants d’Houphouët-Boigny sinon nous prenons le risque de jouer dangereusement avec le destin de notre pays», a-t-il estimé.
M. Duncan a appelé à « des négociations entre le Pdci et les autres partis houphouëtistes afin d’examiner et régler sans trop tarder toutes les divergences, tous les conflits existants et renforcer ainsi la cohésion des filles et des fils d’Houphouët-Boigny, au détriment de toute autre considération ».
« A vous tous mouvements Houphouëtistes, nous voulons lancer un appel pressant, à tous nos compatriotes épris de paix et de cohésion sociale à nous rejoindre pour écrire une nouvelle page de notre pays, qui confirme certes le rôle important du Pdci mais surtout l’importance du Pdci d’être dans la famille plus vaste des houphouetistes », a-t-il affirmé.
Ce rassemblement a réuni plusieurs membres du Pdci, entre autres, Laurent Dona Fologo, des secrétaires généraux de section, des membres du grand conseil, du comité des sages, des élus et des membres du bureau politique.
Le mouvement est soutenu par plusieurs cadres du Pdci favorables au parti unifié Rhdp (Rassemblement des Houphouëtistes pour la démocratie et la paix), la coalition au pouvoir : Achi Patrick, Pascal Abinan, Alain-Richard Donwahi, Raymonde Goudou Coffie, Aka Aouele, Jean-Claude Kouassi, Siandou Fofana, François Amicha, Isaac Dé, Robert Beugré Mambé et Théophile Ahoua N’doli.
AP/ls/APA
« Nous sommes et demeurons Pdci, nous refusons tout aussi fermement la rupture entre le Pdci et les autres membres de la grande famille des houphouetistes », a dit le vice-président ivoirien Daniel Kablan Duncan, disant « non à la rupture », devant des milliers de partisans.
Sur des t-shirts arborés par des partisans venus de divers horizons du pays, l’on pouvait lire « Je suis Pdci, je dis non à la rupture ». Selon M. Duncan, « il est primordial de revenir au fondement même » du Pdci qui a permis de bâtir la Côte d’Ivoire et sa prospérité.
Pdci Renaissance dit « non à la rupture mais oui au dialogue » pour une « retrouvaille entre les enfants de Félix Houphouët-Boigny », a-t-il expliqué, soutenant que le développement du pays sera « mieux assuré toutes les fois que les Ivoiriens revêtent et conservent l’houphouëtisme au centre des préoccupations politiques, économiques et sociales ».
Ce mouvement se veut « un creuset pour l’unité et le rassemblement de toutes celles et de tous ceux qui se réclament de la philosophie fédératrice du père fondateur, Félix Houphouët-Boigny », afin d’impulser davantage le développement de la Côte d’Ivoire, a-t-il poursuivi.
Pour lui, « la place du Pdci doit être et devra toujours être avec les héritiers d’Houphouët-Boigny ». C’est pourquoi il faut « une réorganisation claire de la gouvernance du Pdci », qui envisage de créer une plateforme avec d’autres formations dont le parti de l’ex-président Laurent Gbagbo.
« Il est légitime pour le Pdci de vouloir s’associer à d’autres groupements politiques pour affronter les défis de développement de la Côte d’Ivoire, mais ne croyons pas que nous pouvons le faire à travers des plateformes politiques autres, sans au préalable d’alliance politique naturelle des enfants d’Houphouët-Boigny sinon nous prenons le risque de jouer dangereusement avec le destin de notre pays», a-t-il estimé.
M. Duncan a appelé à « des négociations entre le Pdci et les autres partis houphouëtistes afin d’examiner et régler sans trop tarder toutes les divergences, tous les conflits existants et renforcer ainsi la cohésion des filles et des fils d’Houphouët-Boigny, au détriment de toute autre considération ».
« A vous tous mouvements Houphouëtistes, nous voulons lancer un appel pressant, à tous nos compatriotes épris de paix et de cohésion sociale à nous rejoindre pour écrire une nouvelle page de notre pays, qui confirme certes le rôle important du Pdci mais surtout l’importance du Pdci d’être dans la famille plus vaste des houphouetistes », a-t-il affirmé.
Ce rassemblement a réuni plusieurs membres du Pdci, entre autres, Laurent Dona Fologo, des secrétaires généraux de section, des membres du grand conseil, du comité des sages, des élus et des membres du bureau politique.
Le mouvement est soutenu par plusieurs cadres du Pdci favorables au parti unifié Rhdp (Rassemblement des Houphouëtistes pour la démocratie et la paix), la coalition au pouvoir : Achi Patrick, Pascal Abinan, Alain-Richard Donwahi, Raymonde Goudou Coffie, Aka Aouele, Jean-Claude Kouassi, Siandou Fofana, François Amicha, Isaac Dé, Robert Beugré Mambé et Théophile Ahoua N’doli.
AP/ls/APA