Abidjan - L’ONG CIVIS-CI, œuvrant en matière d’éducation à la citoyenneté, vient de lancer une pétition pour matérialiser un plaidoyer en vue de l’application effective des textes encadrant la lutte contre la corruption en Côte d’Ivoire.
Placé sous le thème « Ensemble construisons les institutions et outils en charge de la lutte contre la corruption et les infractions assimilées », le plaidoyer invite le citoyen, à travers une signature, à demander notamment l’application de la loi sur la protection des dénonciateurs, victimes, témoins, experts et leur famille.
La pétition appelle également à la nomination du procureur spécial en charge du pôle pénal financier chargé spécialement de la lutte contre la corruption, le blanchiment d’argent et la criminalité financière. De même que l’obtention d’un calendrier d’élaboration inclusive et participative de la stratégie nationale de lutte contre la corruption.
L’ONG a organisé un séminaire samedi pour informer de son initiative et en livrer les motivations. Son président, Christophe Kouamé, a expliqué qu’il s’agit de donner les moyens à la société civile de jouer pleinement son rôle dans la lutte contre le fléau de la corruption qui contrarie la marche de la Côte d’Ivoire vers le développement.
asga/kg/kam
Placé sous le thème « Ensemble construisons les institutions et outils en charge de la lutte contre la corruption et les infractions assimilées », le plaidoyer invite le citoyen, à travers une signature, à demander notamment l’application de la loi sur la protection des dénonciateurs, victimes, témoins, experts et leur famille.
La pétition appelle également à la nomination du procureur spécial en charge du pôle pénal financier chargé spécialement de la lutte contre la corruption, le blanchiment d’argent et la criminalité financière. De même que l’obtention d’un calendrier d’élaboration inclusive et participative de la stratégie nationale de lutte contre la corruption.
L’ONG a organisé un séminaire samedi pour informer de son initiative et en livrer les motivations. Son président, Christophe Kouamé, a expliqué qu’il s’agit de donner les moyens à la société civile de jouer pleinement son rôle dans la lutte contre le fléau de la corruption qui contrarie la marche de la Côte d’Ivoire vers le développement.
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