La campagne de sensibilisation sur « la sécurité routière, tous concernés, tous responsables », initiée par le Ministère des Transports, à l’occasion de ces fêtes de fin d’année, s’est poursuivie le jeudi 27 décembre, dans plusieurs quartiers d’Abidjan dont Yopougon, Abobo, Cocody, Koumassi, Treichville, et également dans les villes de l’intérieur du pays.
La campagne de sensibilisation dont la cible est constituée de tous les acteurs de la filière des transports a été officiellement lancée le lundi 24 décembre 2018, par le ministre des Transports, Amadou Koné, dans l’optique de soutenir la politique d’assainissement de la filière des transports.
La seconde journée de cette campagne a donc été la phase pratique qui a permis à une caravane de sillonner les rues d’Abidjan et des gares de transport en commun, avec des agents des structures sous tutelle positionnés à des endroits fixes de ces communes pour faire passer le message de sensibilisation.
Une action citoyenne supervisée par le Directeur de la formation à l’OSER, Ta Bi Tra, représentant du ministre des Transports, qui a souligné l’importance de la sensibilisation de tous les usagers de la route, surtout en cette période de fête.
Aux dires du DG Ta Bi Tra, en tant qu’usagers, tous les citoyens ayant été victimes ou ayant eu un parent victime d’accident, sont concernés par la sécurité routière. C’est donc une responsabilité commune, c’est-à-dire que chacun à son niveau doit œuvrer pour qu’il n’y ait pas d’accident de la circulation.
« Nous sommes pères, mères, oncles, enfants et amis, chacun à son niveau doit pouvoir œuvrer dans le bon sens pour donner des conseils à son entourage. C’est en cela que nous tous concernés, tous responsables », a-t-il indiqué.
Selon lui, cette caravane va se poursuivre avec la campagne de sensibilisation de l’OSER et mieux doit être une affaire continuelle. Il a donc profité pour donner des conseils aux transporteurs en leur recommandant dans l’ensemble de mettre à la disposition de leurs conducteurs des véhicules en bon état mécanique, car un conducteur peut bien se comporter mais une défaillance mécanique n’est pas forcément de son fait.
« Aux conducteurs nous leur demandons d’être vigilants. Etre conducteur est une lourde responsabilité à plus de trois titres : pour sa personne, pour les passagers à bord ou la cargaison, pour sa propre famille », a déclaré M. Ta Bi Tra.
JOB
La campagne de sensibilisation dont la cible est constituée de tous les acteurs de la filière des transports a été officiellement lancée le lundi 24 décembre 2018, par le ministre des Transports, Amadou Koné, dans l’optique de soutenir la politique d’assainissement de la filière des transports.
La seconde journée de cette campagne a donc été la phase pratique qui a permis à une caravane de sillonner les rues d’Abidjan et des gares de transport en commun, avec des agents des structures sous tutelle positionnés à des endroits fixes de ces communes pour faire passer le message de sensibilisation.
Une action citoyenne supervisée par le Directeur de la formation à l’OSER, Ta Bi Tra, représentant du ministre des Transports, qui a souligné l’importance de la sensibilisation de tous les usagers de la route, surtout en cette période de fête.
Aux dires du DG Ta Bi Tra, en tant qu’usagers, tous les citoyens ayant été victimes ou ayant eu un parent victime d’accident, sont concernés par la sécurité routière. C’est donc une responsabilité commune, c’est-à-dire que chacun à son niveau doit œuvrer pour qu’il n’y ait pas d’accident de la circulation.
« Nous sommes pères, mères, oncles, enfants et amis, chacun à son niveau doit pouvoir œuvrer dans le bon sens pour donner des conseils à son entourage. C’est en cela que nous tous concernés, tous responsables », a-t-il indiqué.
Selon lui, cette caravane va se poursuivre avec la campagne de sensibilisation de l’OSER et mieux doit être une affaire continuelle. Il a donc profité pour donner des conseils aux transporteurs en leur recommandant dans l’ensemble de mettre à la disposition de leurs conducteurs des véhicules en bon état mécanique, car un conducteur peut bien se comporter mais une défaillance mécanique n’est pas forcément de son fait.
« Aux conducteurs nous leur demandons d’être vigilants. Etre conducteur est une lourde responsabilité à plus de trois titres : pour sa personne, pour les passagers à bord ou la cargaison, pour sa propre famille », a déclaré M. Ta Bi Tra.
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