Dans son message à la Nation de fin d'année, le Chef de l'État Alassane Ouattara a confirmé, lundi soir, le «réexamen» de la composition de la Commission électorale indépendante (CEI) pour «les élections de 2020», conformément, «aux recommandations de la Cour Africaine des Droits de l’Homme et des peuples».
Pour la circonstance, M. Ouattara dit avoir «instruit le Premier ministre à l’effet d'inviter dès le mois de janvier 2019, les responsables des partis politiques à se joindre au gouvernement en vue du réexamen de la composition de la Commission électorale indépendante, comme je l’avais annoncé le 6 août 2018, dans mon message à la Nation».
Il exhorte tous les acteurs, y compris «la Société civile, à participer activement à ces rencontres», souhaitant que «les échanges et contributions se fassent conformément à notre tradition de dialogue, d’ouverture et de respect afin de renforcer la confiance dans ce maillon essentiel du processus électoral ».
Auparavant, le président ivoirien s'est réjoui «de la maturité démocratique » dont ont fait preuve ses compatriotes dans «leur grande majorité lors des derniers scrutins régionaux et municipaux », déplorant, cependant, «les violences dans certaines localités ».
La réforme de la CEI est à l'origine du boycott des dernières élections par l'opposition.
HS/ls/APA
Pour la circonstance, M. Ouattara dit avoir «instruit le Premier ministre à l’effet d'inviter dès le mois de janvier 2019, les responsables des partis politiques à se joindre au gouvernement en vue du réexamen de la composition de la Commission électorale indépendante, comme je l’avais annoncé le 6 août 2018, dans mon message à la Nation».
Il exhorte tous les acteurs, y compris «la Société civile, à participer activement à ces rencontres», souhaitant que «les échanges et contributions se fassent conformément à notre tradition de dialogue, d’ouverture et de respect afin de renforcer la confiance dans ce maillon essentiel du processus électoral ».
Auparavant, le président ivoirien s'est réjoui «de la maturité démocratique » dont ont fait preuve ses compatriotes dans «leur grande majorité lors des derniers scrutins régionaux et municipaux », déplorant, cependant, «les violences dans certaines localités ».
La réforme de la CEI est à l'origine du boycott des dernières élections par l'opposition.
HS/ls/APA