Abidjan- Le directeur général du Centre de promotion de l’investissement en Côte d’Ivoire (CEPICI), Esmel Essis Emmanuel estime que le nouveau code d’investissement 2018 vise à favoriser l'entrepreneuriat national afin de rehausser le taux des investissements nationaux qui est évalué à environ 50% de l’ensemble des investissements captés en Côte d'Ivoire, en 2018.
« Ce code d’investissement est un outil qui va servir aux entrepreneurs nationaux notamment aux jeunes qui vont pouvoir monter leurs projets (…) Ce code permet une participation des nationaux dans le capital des entreprises », a signifié M. Essis, à l’ouverture, jeudi, d’un atelier de formation et d’information sur le nouveau code initié par le CEPICI.
Selon le DG, ce code est né de la correction de certaines insuffisances de celui de 2012. Il s’agit entre autres, de la faible participation des nationaux à la création de richesse, de la multiplicité des interlocuteurs des promoteurs d’entreprises, de la faible contribution des PME à la formation du Produit intérieur brute (PIB), de la faible transformation dans le secteur de l’agro- industrie.
Le nouveau code présente ainsi des innovations majeures en capitalisant les acquis du code d’investissement de 2012. Il prévoit une catégorisation des investissements, une redéfinition du zonage en tenant compte de critère de pôles économiques compétitifs avec trois zones, un mix des modes d’incitations, un renforcement des avantages en phase d’investissement, une amélioration des avantages en phase d’exploitation, un traitement plus favorable à l’égard des PME, une prise en compte du contenu locale, un suivi plus accru de la dépense fiscale.
Le code des investissements 2012, adopté à la fin de la crise post-électorale, a connu un bilan positif. Sur la période 2013-2018, il a permis la création de 38.680 emplois permanents, l’agrément de 1.196 entreprises et un volume d’investissements de 3.451 milliards de francs CFA, a rappelé le directeur général du CEPICI
tad/fmo
« Ce code d’investissement est un outil qui va servir aux entrepreneurs nationaux notamment aux jeunes qui vont pouvoir monter leurs projets (…) Ce code permet une participation des nationaux dans le capital des entreprises », a signifié M. Essis, à l’ouverture, jeudi, d’un atelier de formation et d’information sur le nouveau code initié par le CEPICI.
Selon le DG, ce code est né de la correction de certaines insuffisances de celui de 2012. Il s’agit entre autres, de la faible participation des nationaux à la création de richesse, de la multiplicité des interlocuteurs des promoteurs d’entreprises, de la faible contribution des PME à la formation du Produit intérieur brute (PIB), de la faible transformation dans le secteur de l’agro- industrie.
Le nouveau code présente ainsi des innovations majeures en capitalisant les acquis du code d’investissement de 2012. Il prévoit une catégorisation des investissements, une redéfinition du zonage en tenant compte de critère de pôles économiques compétitifs avec trois zones, un mix des modes d’incitations, un renforcement des avantages en phase d’investissement, une amélioration des avantages en phase d’exploitation, un traitement plus favorable à l’égard des PME, une prise en compte du contenu locale, un suivi plus accru de la dépense fiscale.
Le code des investissements 2012, adopté à la fin de la crise post-électorale, a connu un bilan positif. Sur la période 2013-2018, il a permis la création de 38.680 emplois permanents, l’agrément de 1.196 entreprises et un volume d’investissements de 3.451 milliards de francs CFA, a rappelé le directeur général du CEPICI
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