Abidjan- Le ministre des Mines et de la Géologie, Jean-Claude Kouassi, a procédé ce jeudi, à son cabinet dans la commune du Plateau, à l’installation des membres de deux commissions interministérielles de son département présidées par son conseiller technique chargé des mines, Seydou Coulibaly.
Il s’agit de la Commission interministérielle de substances explosives (CISE) et de la Commission interministérielle des mines (CIM), composées chacune de neuf membres en charge de veiller à la bonne application de la législation régissant leur sphère de compétences conformément aux réformes en cours dans le secteur minier depuis 2012. Le mandat des membres court sur trois années renouvelables.
Mise en place le 27 décembre 2018, la CISE a pour missions d’examiner les demandes d’agréments des opérateurs exerçant des activités de fabrication, de destruction, de commerce et de transports de substances explosives, ou sollicitant l’ouverture de dépôt de substances explosives, d’avoir un meilleur contrôle des utilisateurs de ces substances sur le territoire, de suivre la traçabilité des produits dangereux, d’accélérer l’attribution des agréments aux différents opérateurs qui en font la demande conformément à la réglementation en vigueur.
Quant à la CIM, qui a vu le jour le 24 décembre 2018, il lui revient de procéder à l’examen technique des demandes de permis de recherche et d’exploitation minières, d’agréer la liste des matériels, matériaux, machines et équipements en exonération, analyser les demandes d’agrément des sous-traitants miniers, abriter les litiges entre les occupants du sol et les titulaires des titres miniers ou bénéficiaires d’autorisations d’exploitation et faire des recommandations au ministre.
Le ministre Kouassi a attiré l’attention des membres desdites commissions sur les responsabilités qui sont les leurs eu égard aux aptitudes et autres compétences qui ont milité en faveur de leur choix. Il leur a demandé de ne pas décevoir la confiance placée en eux par leurs mandants mais bien au contraire, que « par la qualité de leur travail, ils sachent « favoriser la prise de décisions régulières, justes et inattaquables ».
« Le gouvernement compte sur votre disponibilité et votre engagement à accomplir de manière diligente, le travail qui vous a été confié dans l’intérêt de notre pays, de ses populations, de son économie et des sociétés minières. Pour ma part, je demeure confiant, que vous saurez relever les défis qui sont les vôtres grâce au travail bien fait », a-t-il rassuré les membres investis.
Au nom de ses collaborateurs, le président Seydou Coulibaly a remercié leurs différents ministres pour la confiance portée sur leurs personnes et affirmé « compter sur les conseils avisés » du ministre pour atteindre les objectifs à leur assignés.
L’installation de ces deux commissions intervient deux semaines après le lancement des activités de la Brigade de répression des infractions au code minier (BRICM), rappelle-t-on.
fmo
Il s’agit de la Commission interministérielle de substances explosives (CISE) et de la Commission interministérielle des mines (CIM), composées chacune de neuf membres en charge de veiller à la bonne application de la législation régissant leur sphère de compétences conformément aux réformes en cours dans le secteur minier depuis 2012. Le mandat des membres court sur trois années renouvelables.
Mise en place le 27 décembre 2018, la CISE a pour missions d’examiner les demandes d’agréments des opérateurs exerçant des activités de fabrication, de destruction, de commerce et de transports de substances explosives, ou sollicitant l’ouverture de dépôt de substances explosives, d’avoir un meilleur contrôle des utilisateurs de ces substances sur le territoire, de suivre la traçabilité des produits dangereux, d’accélérer l’attribution des agréments aux différents opérateurs qui en font la demande conformément à la réglementation en vigueur.
Quant à la CIM, qui a vu le jour le 24 décembre 2018, il lui revient de procéder à l’examen technique des demandes de permis de recherche et d’exploitation minières, d’agréer la liste des matériels, matériaux, machines et équipements en exonération, analyser les demandes d’agrément des sous-traitants miniers, abriter les litiges entre les occupants du sol et les titulaires des titres miniers ou bénéficiaires d’autorisations d’exploitation et faire des recommandations au ministre.
Le ministre Kouassi a attiré l’attention des membres desdites commissions sur les responsabilités qui sont les leurs eu égard aux aptitudes et autres compétences qui ont milité en faveur de leur choix. Il leur a demandé de ne pas décevoir la confiance placée en eux par leurs mandants mais bien au contraire, que « par la qualité de leur travail, ils sachent « favoriser la prise de décisions régulières, justes et inattaquables ».
« Le gouvernement compte sur votre disponibilité et votre engagement à accomplir de manière diligente, le travail qui vous a été confié dans l’intérêt de notre pays, de ses populations, de son économie et des sociétés minières. Pour ma part, je demeure confiant, que vous saurez relever les défis qui sont les vôtres grâce au travail bien fait », a-t-il rassuré les membres investis.
Au nom de ses collaborateurs, le président Seydou Coulibaly a remercié leurs différents ministres pour la confiance portée sur leurs personnes et affirmé « compter sur les conseils avisés » du ministre pour atteindre les objectifs à leur assignés.
L’installation de ces deux commissions intervient deux semaines après le lancement des activités de la Brigade de répression des infractions au code minier (BRICM), rappelle-t-on.
fmo