Pour pallier les problèmes d’insécurité récurrents dans les zones de productions de café-cacao dont sont l’objet les opérateurs économiques de la filière Café-Cacao à chaque campagne, Le Conseil du Café-Cacao initie du 17 au 18 janvier 2019 à Yamoussoukro, un atelier de réflexion sur le renforcement de la sécurité dans ces zones.
En effet, il s’agira pour Le Conseil du Café-Cacao de mener la réflexion sur le renforcement du dispositif sécuritaire face aux cas d’agressions à main armée, détournements de cargaisons de produits et escroqueries, causant parfois des pertes en vies humaines enregistrés dans ces zones.
Cet atelier aura également pour but d’identifier entre autres les différentes formes d’insécurités auxquelles sont exposés les acteurs de la filière café-cacao et proposer des solutions pour le renforcement durable du dispositif sécuritaire sur l’ensemble des zones de transaction du café et du cacao.
Prendront part à cette activité, les acteurs de la commercialisation du café et du cacao, les autorités locales de Yamoussoukro, les forces de l’ordre et les représentants de l’Etat.
Ces dispositions sont donc prises à l’effet de permettre aux opérateurs de la filière café-cacao de vaquer librement et sans crainte à leurs occupations.
En effet, il s’agira pour Le Conseil du Café-Cacao de mener la réflexion sur le renforcement du dispositif sécuritaire face aux cas d’agressions à main armée, détournements de cargaisons de produits et escroqueries, causant parfois des pertes en vies humaines enregistrés dans ces zones.
Cet atelier aura également pour but d’identifier entre autres les différentes formes d’insécurités auxquelles sont exposés les acteurs de la filière café-cacao et proposer des solutions pour le renforcement durable du dispositif sécuritaire sur l’ensemble des zones de transaction du café et du cacao.
Prendront part à cette activité, les acteurs de la commercialisation du café et du cacao, les autorités locales de Yamoussoukro, les forces de l’ordre et les représentants de l’Etat.
Ces dispositions sont donc prises à l’effet de permettre aux opérateurs de la filière café-cacao de vaquer librement et sans crainte à leurs occupations.