Sinfra- Sié Armand Wilfried et Mohamed Haïdara ont été condamnés, à six mois de prions chacun, pour délit de vol de nuit et en réunion de divers objets par la section du tribunal de Sinfra, lors de sa séance d'audience correctionnelle, au palais de justice.
Dans la nuit du 2 au 3 janvier, aux environs de 23h, Kané Abdramane et Niang Sita, deux jeunes adolescents signalent aux clients d'un kiosque à café, le vol de leurs téléphones portables par une bande de malfrats. Coulibaly Fousseni, oncle de Kané abdramane, prend sur lui de se rendre sur le lieu où l'agression a eu lieu. Il trouve sur place le nommé Sié Armand identifié par les victimes comme l'agresseur qu'il appréhende puis alerte la police locale pour le soustraire de la vindicte populaire.
Au commissariat de police, les deux acolytes se confondent en contradictions en niant les faits. Devant le tribunal, leur culpabilité s'est avérée indiscutable. Le substitut résident du procureur a démontré que ces deux individus utilisent le même mode opératoire.
Ils sont font parti d'un groupe de trois individus qui opèrent dans des situations similaires, selon des témoins. Un d'entre eux menace les victimes à l'aide d'un poignard, les dépouille puis remet le butin aux deux autres qui disparaissent à bord de leur motocyclette et quelques temps après ils se retrouvent incognito pour tenter une autre opération.
Après les débats et le réquisitoire du procureur mercredi, le tribunal a reconnu les deux prévenus coupables. Leur peine est assortie d'une amande de 50.000 francs CFA chacun.
gnj/tad/fmo
Dans la nuit du 2 au 3 janvier, aux environs de 23h, Kané Abdramane et Niang Sita, deux jeunes adolescents signalent aux clients d'un kiosque à café, le vol de leurs téléphones portables par une bande de malfrats. Coulibaly Fousseni, oncle de Kané abdramane, prend sur lui de se rendre sur le lieu où l'agression a eu lieu. Il trouve sur place le nommé Sié Armand identifié par les victimes comme l'agresseur qu'il appréhende puis alerte la police locale pour le soustraire de la vindicte populaire.
Au commissariat de police, les deux acolytes se confondent en contradictions en niant les faits. Devant le tribunal, leur culpabilité s'est avérée indiscutable. Le substitut résident du procureur a démontré que ces deux individus utilisent le même mode opératoire.
Ils sont font parti d'un groupe de trois individus qui opèrent dans des situations similaires, selon des témoins. Un d'entre eux menace les victimes à l'aide d'un poignard, les dépouille puis remet le butin aux deux autres qui disparaissent à bord de leur motocyclette et quelques temps après ils se retrouvent incognito pour tenter une autre opération.
Après les débats et le réquisitoire du procureur mercredi, le tribunal a reconnu les deux prévenus coupables. Leur peine est assortie d'une amande de 50.000 francs CFA chacun.
gnj/tad/fmo